Le président de la république, Béji Caid Essebsi (BCE), Ahmed Néjib Chebbi, l’éternel candidat à la présidence, et Hamma Hammami, l’éternel opposant, ont pour dénominateur commun de porter des œillères et d’être complètement isolés de la réalité. Ils sont atteints du syndrome d’hubris ou la maladie du pouvoir. Par Khémaies Krimi
Étiquette : Front populaire
Caïd Essebsi et l’égalité successorale : La montagne accouche d’une souris
Fête de la femme, le 13 août 2018, au Palais de Carthage. Laissons de côté les faux problèmes et occupons-nous des fléaux qui menacent notre société et retardent notre marche vers le développement, et travaillons à protéger notre pays des maux qui peuvent l’amener, encore une fois, à perdre sa liberté et son indépendance. Par...
Tunisie : Hamma Hammami se défausse sur les électeurs
N’étant plus écouté, voire quasiment inaudible, Hamma Hammami continue de servir ses plats réchauffés de «la Tunisie endettée jusqu’au cou», de «la souveraineté du pays menacée» et de «la menace de braderie d’entreprises nationales»…
Hamma Hammami pleure sa Tunisie chez Nabil Karoui
C’est sur Nessma, une chaîne hors-la-loi, comme l’a qualifiée l’autorité de la régulation audiovisuelle, dirigée par un individu au-dessus de la loi, Nabil Karoui, qui diffame et ne paye pas le fisc, que Hamma Hammami a décidé de s’exprimer pendant une heure et donner ses leçons. Par Chafik Karoui
La gauche cautionne-t-elle le népotisme du clan Caïd Essebsi ?
Hamma Hammami/Mongi Rahoui/Ammar Amroussia. Le Front populaire (FP), front politique qui regroupe la majorité des partis de gauche depuis 2012, ainsi que l’UGTT, syndicat gauchiste et prônant une politique étatiste, ne bronchent et ne disent rien quant au népotisme du clan Caïd Essebsi.
Hamma Hammami est-il une catastrophe pour la gauche tunisienne ?
«Ce gouvernement est une catastrophe et doit partir», phrase signée par l’inamovible chef de file de l’extrême-gauche tunisienne Hamma Hammami. Mais la question qui se pose et que beaucoup n’ont le courage de poser, M. Hammami est-il une catastrophe pour la gauche? Par Imed Bahri
Tunisie : Un raz-de-marée islamiste aux élections 2019 ?
Après avoir remporté les municipales de 2018, les islamistes peuvent lorgner sur la Kasbah et Carthage. L’Histoire, il est vrai, ne se reproduit jamais à l’identique. Cependant on peut émettre une hypothèse plausible : celle du retour des islamistes du mouvement Ennahdha à l’exercice direct du pouvoir en Tunisie. Par Hedi Sraieb *
Caïd Essebsi-Rahoui : Main dans la main pour faire partir Chahed !
Mongi Rahoui, député Front populaire, est en train de faire circuler, depuis ce matin, jeudi 5 juillet 2018, parmi ses collègues à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), une pétition demandant un nouveau vote de confiance au gouvernement Chahed.
Mongi Harbaoui : Nidaa a perdu la mairie de Tunis à cause de Chahed !
Hamma Hammami/Hafedh Caïd Essebsi. Mongi Harbaoui a indiqué que Nidaa Tounes avait proposé une alliance avec certains partis politiques, notamment le Front populaire (FP), dans le cadre de l’élection du maire de la ville de Tunis.
Le Front populaire «offre» la mairie de Tunis au parti islamiste Ennahdha
Rached Ghannouchi/Hamma Hammami : les extrêmes se rejoignent. Le titre peut paraître excessif, mais, à y voir plus près, les 4 voix qui ont manqué à Kamel Idir pour être élu maire de Tunis auraient pu être celles des élus du Front populaire, qui ont préféré ne pas les donner au candidat de Nidaa Tounes.