14 Fév 2018 | 17:03 SOCIETE, Tunisie
Le directeur général de l’Ites, Neji Jalloul, a indiqué que la Tunisie risque d’être classée dans une autre liste noire pire que les précédentes.
De passage à « Politica » sur Jawhara FM, aujourd’hui, mercredi 14 février 2018, l’ancien ministre de l’Education a indiqué que si l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) n’approuve pas, avant le 25 mai prochain, le projet de loi relative aux libertés individuelles, la Tunisie sera classée dans une liste noire pire que celles des paradis fiscaux et des pays exposés aux risques de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme.
«L’Institut tunisien des études stratégiques (Ites) travaille en ce moment sur la manière d’éviter à la Tunisie d’être classée dans une autre blacklist. Si nous serons placés dans cette liste noire, il y aura de mauvaises répercussions, notamment sur les hommes d’affaires», a indiqué M. Jalloul, assurant que le projet de loi en question n’a toujours pas été examiné par les députés.
E. B. A.
La Tunisie dans une «liste noire» européenne des paradis fiscaux
La Tunisie dans la liste des pays exposés au blanchiment de capitaux
bien fait pour vos gueules
Ce Neji Jalloul travaillerait dans un institut de relations strategiques, alors que je me souviens quand il etait ministre de l’education, il avait dit que le but de notre systeme educatif c’est de transmettre ‘notre’ culture arabo-musulmane, alors qu’on n’est pas arabe, et la doctrine de mouhamed c’est pas dans le hit parade depuis un moment. J’aimerais bien savoir s’il y a de strategique a faire des tunisiens des arabo-musulmans?