L’écrasante majorité des entreprises tunisiennes est favorable à la pluralité des organisations patronales.
Author: webmaster kapitalis (webmaster kapitalis)
Banque : L’Etat renonce à dissoudre la BFT
La Banque franco-tunisienne (BFT), en grande difficulté depuis plusieurs années, ne sera finalement pas dissoute, comme envisagé un moment par le gouvernement.
Ahmed El-Karam : Le code des changes «nous bloque»
Le code des changes constitue une entrave à la liberté d’action des opérateurs économiques, estime Ahmed El-Karam.
Khayam Turki refait surface 8 mois après sa démission d’Ettakatol
Khayam Turki fait son retour sur le devant de la scène en créant un think tank, baptisé «Joussour (ponts) pour les politiques publiques».
Libye : Les transferts vers la Tunisie ne se feront plus en devises
Toutes les lettres de crédit documentaires et les transferts de produits et de services de la Libye vers la Tunisie devront s’effectuer désormais en dinars tunisiens (DT).
El-Hamma : Découverte d’un atelier de fabrication d’armes
Gabès. Un atelier de fabrication et de modification de fusils de chasse a été découvert, dans la nuit du samedi à dimanche 6 décembre 2015, à El-Hamma, Gabès.
Corruption dans les prisons : Olfa Ayari convoquée par la justice
La présidente du Syndicat des prisons et des institutions de réhabilitation pénitentiaire, Olfa Ayari, a été convoquée par le tribunal de 1ère instance de Tunis.
Education : La corruption bat son plein dans l’administration
Le ministre de l’Education Néji Jalloul a mis le doigt où ça fait mal en dévoilant des dossiers de corruption dans son département.
Jihad, sexe, niqab et MST
Le retour en Tunisie des jihadistes et, surtout, des jihadistes du sexe ayant servi en Irak et en Syrie exige des dispositions strictes de sécurité. Par Moez Ben Salem*
‘‘Violence(s)’’ de Baccar et Jaïbi : «Un Homme, ça s’empêche»
« Violence(s) » (Ph.Mohamed Frini). La dernière création du duo de choc Jalila Baccar et Fadhel Jaïbi, ‘‘Violence(s)’’ présentée actuellement à la salle du 4e Art, à Tunis, entre soufre et souffrance. Par Mohamed Ridha Bouguerra*