Le théâtre arabe et africain, dans la diversité de ses inspirations et de ses performances, sera célébré à Tunis à l’occasion des de la 19e édition des Journées théâtrales de Carthage (JTC 2017). Par Fawz Ben Ali
Catégorie : CULTURE
Azzedine Alaïa, l’électron libre de la haute couture mondiale
Azzedine Alaïa, un des plus grands couturiers du 20e siècle, est décédé le 18 novembre 2017. De son vivant, le styliste a toujours refusé de se plier au diktat du fashion system. Par Vanessa Friedman *
Tournée en Tunisie du groupe italien Xanti Yaca
Le groupe italien Xanti Yaca revient en Tunisie, après 8 ans d’absence, pour une tournée de quatre jours, du 29 novembre au 2 décembre 2017.
Pour en finir avec l’exception islamique
Le dernier ouvrage de Mohamed Chérif Ferjani, ‘‘Pour en finir avec l’exception islamique’’, sera présenté aujourd’hui, mardi 28 novembre 2017, à 17h30, à la bibliothèque de l’IRMC, à Tunis.
La Marsa : Exposition des photographies de Sophie Daoud Périac
L’artiste photographe française Sophie Daoud Périac est en ce moment à Tunis à l’occasion du lancement de sa nouvelle série photographique.
Efest : Concert de Fabrizio Rat à l’Acropolium de Carthage
Le pianiste italien Fabrizio Rat donnera un concert le vendredi 1er décembre 2017 à 22h30 à l’Acropolium de Carthage.
Au théâtre municipal de Tunis : ‘‘Shéhérazade et les Mille et Une Nuits’’
L’Istituto Italiano di Cultura di Tunisi présente le spectacle ‘‘Shéhérazade et les Mille et Une Nuits’’, le mardi 5 décembre 2017, au Théâtre Municipal de Tunis.
Hammadi Sammoud remporte le prix culturel Al-Owais
L’universitaire et critique littéraire Hammadi Sammoud est parmi les lauréats du prix de la Fondation culturelle Sultan Bin Ali Al-Owais.
Non à la réduction du budget du Festival de Hammamet
Nous publions ci-dessous une pétition contre la réduction programmée du budget 2018 du Festival international de Hammamet signée par des acteurs de la vie culturelle.
‘‘El Jaïda’’ de Selma Baccar : Un film populaire de qualité
Souhir Ben Amara. Le dernier film de Selma Baccar est à saluer, car il contribue à restituer un pan de notre histoire et à alimenter la mémoire collective tout en défendant la cause des femmes. Par Abdelfatteh Fakhfakh *