Dans son film scandale ‘‘Much Loved’’, le Marocain Nabil Ayouch a voulu mettre la société arabe face à l’un de ses tabous : la prostitution. Par Fawz Ben Ali
Catégorie : CULTURE
JCC 2015 : Le palmarès complet
« L’orchestre des aveugles » du marocain Mohamed Mouftakir a remporté le Tanit d’Or de cette 26e édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC).
Les 6e Lauriers Hayett organisent un concours de dessin d’enfants
Les enfants âgés de 5 à 15 ans peuvent participer au concours de dessin organisé en marge des 6e Lauriers Hayett, récompensant les œuvres ciblant l’enfance.
Tunisie 88 : Des concerts de piano dans les rues pour égayer la vie
Souhayel Guesmi va à la rencontre des enfants et leur offre des concerts de piano en pleine rue, pour transmettre un message de paix et faire vivre la culture.
JCC : Modifications des horaires et des salles
Après l’instauration du couvre-feu sur le Grand Tunis, certaines modifications ont été introduites sur les horaires et les salles de projection aux JCC.
Seddik, Mabkhout et Youssef interdits à la foire du Livre du Koweït
Trois écrivains tunisiens : Youssef Seddik, Chokri Mabkhout et Olfa Youssef ont été interdits à la 40e foire internationale du livre du Koweït.
JCC : Quand l’art et la culture triomphent du terrorisme
Les Tunisiens défient les menaces terroristes à la capitale et se rendent en nombre aux projections des Journées cinématographiques de Carthage (JCC).
‘‘Madame courage’’ de Merzak Allouache : Une jeunesse à bout de souffle
Dans ‘‘Madame courage’’, Merzak Allouache raconte la dérive d’une jeunesse algérienne condamnée à s’inventer un avenir par tous les moyens. Par Hamadi Abassi
JCC : Réaménagement des horaires
Suite à l’attentat qui a frappé Tunis, les Journées Cinématographiques de Carthage (JCC) sont maintenues, avec quelques changements.
Tunis à l’heure des JCC : Une soif d’images, un besoin de joie
Une ouverture sous le signe de la décontraction. Grâce aux JCC, le 7e art illumine cette semaine le ciel de Tunis et les cinéphiles remplissent les salles obscures, en quête d’images et de sensations inédites. Par Hamadi Abassi