Il est à craindre que le terrorisme ne sera jamais éradiqué en Tunisie tant que les islamistes resteront au pouvoir, ou dans son antichambre. Par Tarak Arfaoui
Catégorie : TRIBUNE
La Grèce peut-elle quitter l’Euro ? Peu importe !
A 3 jours du référendum sur le plan de ses créanciers, la Grèce aurait besoin d’une nouvelle aide européenne de 36 milliards d’euros dans les 3 ans, estime le FMI. Par Guillaume Almeras
La Tunisie piégée par Ennahdha
Le double langage des islamistes permet aux dirigeants d’Ennahdha de tenir un discours consensuel dans les médias et de lâcher, en sous-main, leurs chiens. Par Rachid Barnat
Tunisie : Un gouvernement en retard d’une guerre
Même après le massacre de Sousse, le gouvernement tunisien donne toujours l’impression de manquer cruellement de vision, de courage et de détermination. Par Hédi Sraieb*
Attentat de Sousse: La Tunisie trompée par ses «amis» occidentaux
Ce que vit la Tunisie aujourd’hui est la conséquence des erreurs gravissimes faites par la France, l’Otan et les Etats-Unis en Libye. Par Chawki Abid*
Attentat de Sousse: 11 millions de Tunisiens déchirés par la honte
Après l’attentat de Sousse, nous devons prouver que nous sommes capables d’assurer la sécurité des gens, avant de les appeler à venir en Tunisie. Par Lamiss Kerkenni*
Après Bardo et Sousse, l’islamisme n’a plus de place en Tunisie
Le pouvoir tunisien actuel est paralysé et rien de bien n’en sortira tant que l’alliance contre-nature Nidaa Tounes – Ennahdha perdurera. Par Rachid Barnat
La Tunisie victime du quatuor de la terreur
Depuis quatre ans, la Tunisie est piétinée et écrasée par un quatuor de terreur : les politiques, les syndicalistes, les contrebandiers et les jihadistes. Par Mohamed Rebai*
Après l’attentat de Sousse: Lettre à mes amis «non musulmans»
Après l’horreur du massacre de Sousse commis au nom de l’islam, peut-on encore espérer que rien n’est fini entre «musulmans» et «non musulmans». Dr Lilia Bouguira
Tunisie: Pour un sursaut national contre le terrorisme
L’auteur appelle à «sursaut national» pour recréer cette solidarité nationale qui manque cruellement en Tunisie depuis le 14 janvier 2011. Dr Mohamed Sahbi Basly*