Tunisie : taux, totaux et créanciers au pouvoir

L’Etat tunisien doit actuellement et avant tout faire face à des créances lourdes. Mais malgré un discours appelant à la restauration de la démocratie, le premier impératif de tout créancier demeure de rentrer dans ses fonds et le FMI n’a plus confiance. L’exemple grec avait déjà démontré combien les créanciers internationaux n’étaient pas prêts à sacrifier leur argent contre les nécessités de la démocratie. Il semble qu’avec la Tunisie, ils n’aient pas changé d’attitude. Quelles raisons auraient-ils eu de le faire? Par Dr Mounir Hanablia *

Corruption : mandats de dépôt contre 4 fonctionnaires de la municipalité de Soukra

La chambre d’accusation près la cour d’appel de Tunis a délivré 4 mandats d’arrêt contre quatre prévenus dans le cadre d’une affaire de corruption dans l’attribution de diverses autorisations par les services de la municipalité de Soukra, gouvernorat de l’Ariana, au nord de Tunis, dont deux chefs de services à ladite municipalité.

La Tunisie lance un Concours international de l’huile d’olive biologique vierge extra

Le Tunisian Olive Oil Women’s Network – Toown (Réseau des femmes tunisiennes de l’huile d’olive) a fait carton plein ! Un beau succès pour le lancement de la première édition du concours international de l’huile d’olive biologique en Tunisie Dido International, organisée par ce réseau, qui s’est tenu le 20 décembre 2021. Un programme de lancement qui a été riche plébiscité par tous les participants, marqué par plusieurs temps forts avec des personnalités inspirantes du secteur oléicole. Dido International est prévue en 2022 ! Par Asma Mami Maazoun *

Tunisie : La parole dévoyée de Kaïs Saïed

Quand il prend la parole, un président de la république doit savoir peser le sens et l’impact de ses mots, sinon, bonjour les dégâts ! Par ses dérapages à répétition, Kaïs Saïed ne rehausse pas son image, ternit aussi celle de la Tunisie qu’il est censé incarner et, surtout, grossit les rangs de ses détracteurs, qui ont de bonnes raisons de se liguer aujourd’hui contre lui. La preuve par Ali Kooli… Par Imed Bahri

Khalil Baroumi fait porter à Kaïs Saïed la responsabilité du bilan calamiteux d’Ennahdha

Les islamistes ont beau jeu aujourd’hui de s’opposer au président Kaïs Saïed et de critiquer les mesures d’austérité qu’il a été contraint de prendre, alors qu’ils sont eux-mêmes à l’origine de la situation financière catastrophique où se trouve aujourd’hui la Tunisie, au terme de dix ans de pouvoir d’Ennahdha, caractérisé par la gabegie, la mauvaise gouvernance et la dilapidation des ressources du pays.

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