Le piano de Habiba Msika n’est pas en Israël mais chez sa petite-fille en France

Réagissant à un article publié il y a un an par Kapitalis, rapportant, en citant un journal israélien, que le piano de Habiba Msika, est en Israël depuis 1952, Sonia Arrouas, se présentant comme la petite-fille de la chanteuse tunisienne de confession juive, a contacté Kapitalis pour corriger cette «fake news». Par Imed Bahri

Affaire Alicante : 43 suspects poursuivis en justice et 26 appartements saisis

Dans un communiqué publié ce matin, jeudi 11 juin 2020, la Douane tunisienne a indiqué que 43 Tunisiens et vivant en Tunisie soupçonnés d’être impliqués dans une affaire d’acquisition de biens immobiliers et d’avoir effectué des opérations financières et commerciales illégales, hors du pays, ont été déférés devant le pôle judiciaire financier et économique par la direction des enquêtes douanières.

Tunisie : Le ministre des Affaires étrangères alerte sur le danger «des surenchères populistes»

Le ministre des Affaires étrangères, Noureddine Erray, sort de sa réserve habituelle et alerte contre le danger des «surenchères populistes» et estime que ce sont «des tentatives pour galvauder l’Etat tunisien». Et ces mots ont été prononcés devant la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), à savoir directement devant les principaux intéressés, les députés.

Pourquoi les Turcs ne demanderaient-ils pas pardon aux Tunisiens ?

Un débat s’est installé dans l’espace public tunisien, après ce qu’il est convenu d’appeler la «révolution», appellation fort contestée par les connaisseurs en théorie insurrectionnelle, et reprise en chœur par un large éventail de politistes amateurs, depuis les chemises noires d’Al-Karama, jusqu’à l’homme tranquille de Carthage. Ce débat se résume dans cette interrogation librement inspirée de Leibniz : «Pourquoi sommes-nous dominés par la France, plutôt que par la Turquie»? Par Sadok Chikhaoui *

Le casse-tête de l’industrie du phosphate en Tunisie

Jadis fleuron de l’économie tunisienne, qui contribue d’une bonne part aux recettes de l’Etat et permet de rééquilibrer la balance extérieure, l’industrie du phosphate est devenue un véritable casse-tête pour les pouvoirs publics : production en berne, atteinte à l’environnement et grogne sociale. Et les solutions tardent à être mises en route… Par Amine Ben Gamra *

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