La séance d’audition du ministre de l’Intérieur devant la Commission des droits, des libertés et des relations extérieures au sein de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), a été levée, jeudi 10 septembre, dans une ambiance très tendue marquée par l’échange d’accusations par entre les députés du Front populaire et ceux de Nidaa Tounes.
A rappeler que plusieurs opposants, à l’instar du Front populaire, ont rejeté fermement les déclarations du ministre de l’Intérieur, Najem Gharsalli, dans lesquelles il est question d’interdire les manifestations sous prétexte de l’état d’urgence.
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