Mohsen Marzouk, le secrétaire général de Nidaa Tounes, s’est rendu, aujourd’hui, dans les zones rurales du Kef.
Après avoir rencontré, hier, les membres du bureau régional de Nidaa Tounes, à Sousse, Mohsen Marzouk s’est rendu, aujourd’hui, dans plusieurs régions frontalières du nord-ouest, notamment Borj El-Îfa et ses environs, dans le gouvernorat du Kef, où il est allé à la rencontre des citoyens.
«Nous avons distribué des cartables et des fournitures scolaires dans des écoles où nous sommes en train de faire construire des cantines. Grâce aux dons des Tunisiens et à leur générosité, nous allons faire construire des clôtures pour empêcher les animaux sauvages, comme les loups et les sangliers, de pénétrer dans l’enceinte des établissements scolaires et de terrifier les écoliers», a indiqué M. Marzouk, dans une déclaration à Kapitalis.
«La vie doit continuer normalement dans ces zones frontalières avec l’Algérie et les habitants fixés dans leurs terres. Car s’ils les quittent, d’autres occupants viendraient s’y installer, et c’est que nous craignons», a-t-il ajouté, par allusion aux groupes jihadistes armés retranchés dans les montagnes environnantes et qui font, de temps à autres, des incursions dans les villages pour braquer la population et leur prendre leurs provisions alimentaires.
Z. A.
Donnez votre avis