Nour Qamar fait l’objet d’une ruée des imprésarios pour la programmer dans des soirées de gala dans hôtels qui ne sont, sûrement, pas faits pour des enfants.
La société civile s’est mobilisée pour empêcher l’exploitation des capacités vocales et des dons musicaux de la jeune enfant Nour Qamar, âgée de 12 ans , que des imprésarios et autres producteurs de spectacles véreux ont voulu programmer dans un gala, à l’occasion de la Fête de la Saint Valentin, dans un hôtel à Sousse, le 13 février 2016.
Alerté par le tollé soulevé par plusieurs associations sur les réseaux sociaux, le ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant a réagi, dans un communiqué publié, mardi 2 février 2016, rappelant «qu’en vertu et application du décret publié par le ministre des Affaires sociales, en date du 19 janvier 2000, et surtout de l’article numéro 3, il est interdit aux enfants de participer aux concerts publics et aux œuvres cinématographiques qui ne bénéficient pas d’une autorisation de la part des services compétents».
N. H.
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