Le gardien de l’hôtel poursuivi pour agression de la députée Goubantini.
Le ministère public du tribunal de 1ère instance à Médenine a décidé, aujourd’hui, la mise en liberté des 2 gardiens d’hôtel de Djerba arrêtés dans l’affaire de la députée Sabrine Goubantini.
La première personne appréhendée pour suspicion d’agression verbale et physique contre la députée de Nidaa Tounes, Sabrine Goubantini, samedi, à l’hôtel Yadis, à Djerba, et son collègue, ont comparu, aujourd’hui, le premier en état d’arrestation et le second en état de liberté, devant le juge du tribunal de première instance de Médenine, qui a ordonné leur remise en liberté. Mais ils seront traduits, aujourd’hui même, en état de liberté, devant la chambre correctionnelle pour répondre des faits qui leur sont reprochés.
Dans une déclaration aux médias, la députée de Nidaa a donné de nouveau sa version. Selon elle, son ami, qui n’est autre que le mari d’une proche «a été interdit d’accéder au parking pour sortir de l’hôtel. J’ai appelé le 197 comme chaque citoyenne victime de dépassement. Je reste à la disposition de la justice dans cette affaire. Je suis devenue la victime de certains médias et de plusieurs pages sur les réseaux sociaux qui se sont attaquées à ma personne et nui à ma réputation», a-t-elle précisé en soulignant que le gardien de l’hôtel a dépassé ses limites en l’agressant verbalement et physiquement.
Affaire à suivre…
Z. A.
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