La conférence internationale sur l’investissement, Tunisie 2020, s’est ouverte, aujourd’hui, au Palais des Congrès, à Tunis, sous de bons auspices.
La cérémonie d’ouverture officielle a eu lieu en présence président de la république Béji Caïd Essebsi, du chef du gouvernement Youssef Chahed, du ministre du Développement, de l’Investissement et de la Coopération internationale, Fadhel Abdelkefi.
Parmi les invités d’honneur étaient présents l’émir du Qatar, Tamim Ben Hamad Al Thani, le Premier ministre français Manuel Valls, son homologue algérien Abdelmalek Sellal, la ministre du Développement international et de la Francophonie du Canada, Marie-Claude Bibeau.
De nombreux membres de gouvernements de pays partenaires, d’ambassadeurs et représentants de plusieurs organisations internationales, ainsi que de grands groupes privés ont également assisté à cet événement.
L’émir du Qatar.
Près de 2500 personnalités tunisiennes et internationales du monde économique et politique sont venus manifester leur amitié et leur solidarité avec la Tunisie et son peuple.
Dans leurs discours, les hôtes de la Tunisie ont souligné l’intérêt qu’accorde leur pays au soutien de la Tunisie pour qu’elle puisse relever les énormes défis de la reprise de l’économie, de la relance de l’investissement, de la création d’emplois pour les jeunes et de l’amélioration des conditions sociales, notamment dans les régions défavorisées, berceau de la révolution de janvier 2011, qui plus est, dans un contexte international difficile et régional tendu.
Manuel Valls.
Le chef de l’Etat tunisien a rappelé, à cette occasion, la nécessité de poursuivre les réformes structurelles en vue d’améliorer le climat des affaires, notamment après l’adoption d’une nouvelle loi sur l’investissement qui consacre la liberté d’entreprise et encourage la création de sociétés.
Abdelmalek Sellal.
Beaucoup de protocoles d’accords et de conventions d’aide, de financement et d’investissement ont été signés entre des Etats, des organisations et des établissements bancaires et financiers internationaux, d’un côté, et le gouvernement tunisien de l’autre, pour le lancement de divers projets, dont le montant global pourrait atteindre 20 milliards de dinars tunisiens (TND).
I. B.
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