Un policier à été agressé par des inconnus, dans la soirée du vendredi 11 février 2017, à Hammam-Lif, banlieue sud de Tunis. Il pourrait perdre l’usage d’un oeil.
Ezzeddine Rebhi rentrait de son travail du poste de police de Radès, gouvernorat de Ben Arous, quand des inconnus cagoulés et munis d’armes blanches l’ont agressé avant de fuir.
L’agent Rebhi à été découvert par des passants, qui l’ont transporté à l’Institut Hédi-Raïs d’ophtalmologie, à Bab Saadoun, Tunis, où il a subi une opération sur son œil droit dont il pourrait perdre l’usage. Sa famille, qui le cherchait depuis vendredi, à été informé de l’incident samedi matin.
Victime de blessures et contusions sur plusieurs parties de son corps, l’agent a été maintenu sous surveillance médicale.
Les agresseurs de Ezzeddine Rebhi n’ont pas été identifiés mais ce dernier a affirmé qu’ils l’ont traité de «sale flic» en l’agressant, en montrant une haine pour le corps sécuritaire.
Y. N.
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