Nabil Maaloul est conscient de la difficulté de la tâche, mais il semble confiant quant aux chances de la Tunisie de se qualifier à la phase finale du Mondial 2018.
Pour le sélectionneur de la Tunisie, Nabil Maaloul, dont les protégés vont jouer aujourd’hui, mardi 5 septembre 2017, à 18h30, à Kinshasa, un match décisif contre la République démocratique du Congo (RDC), pour le compte des éliminatoires de la Coupe du monde de football Russie 2018, la situation est claire : «A Kinshasa ce sera un autre match encore plus difficile (que celui de Radès, vendredi dernier, remporté par la Tunisie 2 à 1, Ndlr). Les chances sont 50/50. Maintenant on est premier, à nous de bien gérer notre match retour».
Le coach tunisien qui parlait lors de la conférence de presse donnée lundi 4 septembre au stade des Martyrs, où se déroulera le match, a ajouté: «Ce sera la finale à gagner absolument pour garder nos chances intactes. La victoire à Radès n’aurait un sens que si on gagnait à Kinshasa. Une victoire sera synonyme d’un grand pas en avant vers la Russie».
«Il y aura des changements aussi bien dans notre stratégie qu’au niveau de la composition du onze rentrant», a-t-il aussi assuré. Et d’ajouter: «Certes, la fougue et le finish de Khenissi vont nous manquer. Toutefois, nous disposons de suffisamment de solutions et d’une ossature solide».
Le sélectionneur national ne tarit pas d’éloge pour la sélection congolaise: «La RDC est l’une des meilleures du continent à l’heure actuelle. Elle est confiante en ses moyens. Elle réagira après sa défaite mais c’est à nous de bien la contrer», a-t-il dit.
H. M.
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