Le cinéaste tunisien, accusé par sa collègue française de violée, remontant à 12 ans, a décidé de porter plainte pour accusation mensongère.
C’est ce qu’il a indiqué, aujourd’hui, mardi 7 novembre 2017, à Kapitalis, bien que son nom n’ait pas été cité dans l’article que nous avons publié à ce sujet, alors que l’accusatrice l’a explicitement nommé dans un message qu’elle a envoyé à des dizaines de professionnels du du cinéma.
Le cinéaste reconnait avoir rencontré la dame au Maroc lorsqu’elle avait 29 ans (elle en a 41, aujourd’hui) et avoir travaillé avec elle sur un projet à Tunis, comme elle l’avait d’ailleurs raconté, mais il dément avoir abusé d’elle.
Quant au projet professionnel, il avoue avoir employé la cinéaste et l’avoir rémunéré 500 dinars tunisiens par mois, en précisant que cela était conforme aux salaires de l’époque pour le genre de travail effectué.
Y. N.
Donnez votre avis