L’entreprise pétrolière italienne ENI a déjà fait part au gouvernement tunisien de son projet de quitter la Tunisie où elle était présente depuis les années 1960. En fait, elle va céder ses actifs à d’autres majors, dont plusieurs ont déjà exprimé leur intérêt.
Selon Africa Intelligence, outre Perenco, plusieurs sociétés regardent les données géologiques disponibles des permis producteurs d’ENI couvrant actuellement 25% du débit total en Tunisie, notamment Savannah Petroleum, Mazarine Energy, déjà présente en Tunisie, et la firme norvégo-émiratie Petronor.
«Outre ENI, la quasi-totalité des compagnies pétrolières actives en Tunisie cherchent à en partir du fait d’un contexte social difficile et d’une géologie peu attractive. C’est le cas de Shell, CNPC et Kufpec», écrit aussi Africa Intelligence.
I. B.
Article lié :
Mechichi supplie le groupe ENI de ne pas quitter la Tunisie
ENI lance la construction d’une centrale solaire à Tataouine
Donnez votre avis