L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a, à son tour, dénoncé les agressions policières contre les manifestants et les journalistes, ayant eu lieu hier, mercredi 1er septembre 2021, à l’occasion d’une manifestation organisée pour appeler à révéler la vérité sur les assassinats politiques de 2013, dont les victimes furent Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi.
Via un communiqué, la centrale syndicale a souligné la nécessité d’ouvrir une enquête sérieuse et d’identifier toutes les personnes impliquées dans cette attaque barbare, selon le texte de la communication.
L’UGTT a, par ailleurs, considéré que la violation des libertés et les restrictions à l’exercice des droits fondamentaux et constitutionnels, dont le premier est la liberté d’expression et de manifestation, est une ligne rouge qui ne peut être violée.
Et de renouveler son soutien à la cause revendiquée hier, à savoir la nécessité de révéler toute la vérité sur le dossier des assassinats politiques et de traduire en justice tous les responsables, impliqués dans le financement, la planification et la mise en œuvre.
C. B. Y.
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