Devenu la risée de la toile, depuis sa grosse bourde lors du match Tunisie-Mali, comptant pour le premier tour de la Coupe d’Afrique des nations, le 12 janvier dernier, sifflant la fin de la rencontre avant le terme du temps réglementaire, l’arbitre zambien Janny Sikazwe est sorti de son silence, cette semaine. Au lieu de s’excuser, il a sorti une justification aussi pathétique que son acte…
Interviewé par la chaîne britannique BBC, Sikazwe a déclaré que c’était Dieu qui lui avait dit de finir le match prématurément, et ce, pour «sauver sa vie», étant donné qu’il a été victime d’une insolation.
«Les médecins m’ont dit que mon corps ne se refroidissait pas. Il n’a pas fallu longtemps pour que je tombe dans le coma et que ce soit la fin», a-t-il expliqué.
Pourtant, cela ne justifie aucunement ce qu’il avait fait. Il aurait, tout simplement, pu demander les soins et quitter la rencontre, laissant le 4e arbitre la finir à sa place, comme le dispose le règlement.
Evidemment, c’est facile de jeter son erreur sur «Dieu», en sachant que ce dernier ne risque pas de faire une déclaration médiatique pour le démentir.
C. B. Y.
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