Pour le secrétaire général du mouvement «Tunisie en avant», Abid Briki, le dialogue national ne doit concerner que les parties soutenant la politique du président de la république, Kaïs Saïed, depuis l’annonce de ses mesures exceptionnelles, le 25 juillet 2021, et doit viser un accord entre celles-ci.
intervenu, ce mercredi 16 février 2022, sur les ondes de Shems FM, le politicien de gauche, a, d’autre part, indiqué que lors de rencontre qu’il a eue avec le chef de l’Etat, des questions telles que la situation générale dans le pays et les problèmes complexes qui ne sont pas faciles à résoudre ont été abordées.
«Le pays a été détruit par la corruption financière et administrative, en plus de la dissimulation de certains dossiers majeurs liés au terrorisme, à l’envoi de jeunes dans les zones de conflit et aux assassinats […] Et il y a un grand tiraillement entre les parties qui cherchent à dévoiler ces dossiers et les autres parties qui souhaitent continuer à les camoufler», a-t-il développé.
La solution, pour lui, commence par assainir la justice et rectifier les dépassements commis lorsque les islamistes d’Ennahdha étaient au pouvoir.
C. B. Y.
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