Accueil » La Tunisie sous les feux de la rampe chez Thierry Ardisson

La Tunisie sous les feux de la rampe chez Thierry Ardisson

La Tunisie était au cœur du débat dans ‘‘Les terriens du dimanche’’, émission présentée par Thierry Ardisson, dimanche soir, 18 février 2018.

La célèbre émission hebdomadaire, auparavant appelée ‘‘Salut les terriens’’, qui attire à chaque fois près de 1.700.000 téléspectateurs, est un talk show qui passe chaque dimanche soir sur la chaîne C8 du groupe Canal+.

Lors du dernier numéro de l’émission, Thierry Ardisson a choisi de consacrer la rubrique «Zone libre» à la Tunisie.

«Qu’en est-il alors de la Tunisie d’aujourd’hui, 7 ans après la révolution du 14 janvier 2011?», tel était le sujet du débat menée par la chroniqueuse Monia Kashmir, qui s’était déplacée à Tunis pour mener à bien son «enquête».

La chroniqueuse avait choisi d’aller à la rencontre du chorégraphe et danseur tunisien Rochdi Belgasmi, «l’une des personnalités préférées des Tunisiens», dit-on, connu pour ses spectacles engagés et hors normes. Le jeune artiste travaille sur ce qu’il appelle «les fausses frontières entre la masculinité et la féminité pour retrouver un espace mixte». Un choix qui lui avait valu des réactions de rejet (notamment de la part de certains députés d’Ennahdha à l’ouverture du dernier Festival de Carthage) et même des menaces de mort, évoque-t-il, dans l’interview diffusée sur la chaîne française.

Quand on parle de la Tunisie, difficile de ne pas citer Kapitalis. 

La rubrique met la lumière sur une autre facette de la Tunisie, loin de l’image d’un pays menacé par la montée des tendances islamistes et, son corollaire, le terrorisme.

 
Le reportage transmet un message d’espoir, affirmant que la Tunisie c’est aussi des artistes, des intellectuels, des militants progressistes et une jeunesse qui résiste aux nombreuses tentatives d’islamiser la société.

Après sa virée au pays des jasmins, Monia Kashmir a estimé que la révolution est un processus, «arrêtons de foutre une pression médiatique sur la Tunisie (…) c’est une démocratie en marche, comme chez nous!», affirme-t-elle.

Fawz Ben Ali

Le reportage.

Rochdi Belgasmi fait danser les hôtes de l’ambassadeur britannique

Rochdi Belgasmi fait danser les hôtes de l’ambassadeur britannique

Donnez votre avis

Votre adresse email ne sera pas publique.

error: Contenu protégé !!