Fakhri Landolsi et sa maman Wassila.
Condamné à la peine de mort, pour homicide volontaire, en avril 2017, au Qatar, le Tunisien Fakhri Landolsi, qui réfute totalement cette accusation, sera fixé sur son sort le 24 janvier 2019, date du jugement en appel.
Le procès s’est ouvert en appel le 8 janvier courant et, selon le collectif d’avocats de l’étudiant tunisien de 26 ans, le verdict n’a pu être prononcé parce que les 10 témoins n’ont pas tous été entendus.
Jusque-là, les témoignages jouent en faveur de Fakhri Landolsi, qui se trouvait à la mauvaise place lors du meurtre d’un ressortissant qatari.
Le prévenu, qui n’avait pas bénéficié d’avocats lors de son procès en première instance, a failli être exécuté. Mais, entre-temps, Wassila, sa maman (72 ans), avait lancé des appels à l’aide, à travers les médias, et le ministère tunisien des Affaires étrangères a réagi en chargeant des avocats d’assurer la défense du prévenu.
Y. N.
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