Le libéralisme économique pourra réussir en Tunisie s’il dépasse l’aspect mercantile et concerne aussi les aspects politiques et sociaux. Par Farhat Othman
Catégorie : TRIBUNE
Le général Rachid Ammar ou la haine des héros
A propos de la plainte de Sami Sik Salem, l’ancien directeur général de la sécurité présidentielle, contre le général Rachid Ammar pour enlèvement et séquestration. Par Mohamed Nafti *
La France a-t-elle encore les moyens de sa politique étrangère?
La France doit rééquilibrer sa politique étrangère et changer son regard sur le Maghreb, l’Afrique et le Moyen-Orient. Par Ezzeddine Ben Hamida*
Cinq ans après : Le bilan mitigé de la révolution tunisienne
Le bilan de la révolution tunisienne, malgré la réussite relative de la transition politique, reste globalement mitigé. Décryptage… Par Lassaâd Bouazzi*
Nidaa Tounes : Manigances au nom du père, du fils et des sans-esprit
Tapi dans l’antichambre du pouvoir, Ennahdha attend patiemment son heure pour prendre le pouvoir, en profitant de la déconfiture annoncée de Nidaa Tounes. Par Tarak Arfaoui
Tunisie entre 2015 et 2016: Strip-tease islamiste et tartufferie moderniste
Bilan à la fois psychosociologique et politique de l’année 2015, qui se veut moins tourné vers le passé que prospectif. Par Farhat Othman
Guerres au Moyen-Orient: Le président Oblabla et l’Etat USlamique
Les fées turques et américaines se sont perchées, très tôt, sur le berceau de l’Etat USlamique et ses Dae(chiens) qui déversent le sang des Arabo-musulmans. Par Dr Fethi El Mekki *
Pour sortir la diplomatie tunisienne de sa médiocrité actuelle
Cet article est une réflexion du Syndicat du corps diplomatique (SCD) sur la dérive de la diplomatie tunisienne au cours des 20 dernières années.
C’est quoi la diplomatie, M. Baccouche ?
Au lieu de régler ses comptes avec Mohsen Marzouk, Taïeb Baccouche aurait été plus inspiré de se concentrer sur l’état déplorable de la diplomatie tunisienne. Par Farhat Othman
Révolution tunisienne: Bilan de 5 ans d’égarement
Cinq ans après la chute de Ben Ali, les nouveaux dirigeants ont fait échouer la révolution, qui a manqué lamentablement son but: changer la gouvernance du pays. Par Habib Boussaadia *