Tunisie-Politique : le grand choc des institutions et des ambitions

Il y a une sorte de parodie pathétique du pouvoir dans cette confrontation dont la Tunisie est le théâtre depuis le 25 juillet dernier entre un président élu, Kaïs Saïed, décidé à neutraliser un parlement, présidé par Rached Ghannouchi, que beaucoup estiment inutile, sinon nocif, et la volonté de celui-ci, également élu, de lui contester les pouvoirs qu’il s’est arrogés. Par Dr Mounir Hanablia

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