Biat – Crise sanitaire : L’objectif est de minimiser les dégâts financiers

En raison de la crise sanitaire du coronavirus, l’année 2020 a été difficile sur le plan économique et financier pour la plupart des institutions bancaires tunisiennes. La Banque internationale arabe de Tunisie (Biat) n’a pas fait l’exception, et malheureusement l’année en cours s’annonce également compliquée. Des réformes s’imposent… Par Cherif Ben Younès

Kais Saied face à l’alliance de l’islam politique et de l’argent sale

Le président de la république Kais Saied réussira-t-il à infliger une défaite à la coalition mafieuse constituée de l’islam politique, de l’affairisme et de l’argent sale qui tente de prendre le contrôle de tous les rouages de l’Etat et de la société et qui n’a aujourd’hui qu’un seul but : le faire destituer ?    Par Elyes Kasri *

Blocage politique et institutionnel en Tunisie : Que peut faire le président Kaïs Saied ?

Les conséquences de la crise politique à la tête de l’Etat en Tunisie sont dramatiques : un pays à la dérive, un Etat en déliquescence, une économie en déshérence, une paupérisation galopante pour la majorité des citoyens, une société gangrenée par une corruption tentaculaire et, pour ne rien arranger, une pandémie en phase de recrudescence et contre laquelle les pouvoirs publics semblent désarmés. Que peut faire le président Kaïs Saïed ? Par Abderrahman Jerraya *

Covid-19 : Pourquoi il faut garder le masque après la 1ère dose de vaccin

Au moment où le nombre de morts et de nouvelles contaminations par le Covid-19 augmente en Tunisie et prend même une allure inquiétante, l’auteur rappelle qu’être vacciné contre cette épidémie n’autorise pas à enlever le masque en public ou à ne pas respecter les gestes barrières. Car, entre les deux doses du vaccin (et même après la 2e dose pour 1 à 2 % des cas), le risque de contaminer les autres reste élevé. Par Pr Faouzi Addad *

Politique-fiction : En Tunisie, le pire n’est jamais à écarter

Dans ce post Facebook, l’auteur imagine, dans une sorte d’exercice de politique fiction, les complications pouvant naître de la convocation du ministre de la Défense, Brahim Bartagi, par le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Rached Ghannouchi, pour s’expliquer concernant le mandat d’amener émis par le parquet militaire à l’encontre du député Rached Khiari. En Tunisie, le pire n’est jamais à écarter… Par Fadhel Mahfoudh *

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