Kaïs Saïed mécontent des rencontres entre responsables Tunisiens et étrangers à l’insu du ministère des Affaires étrangères

Lors de sa réunion tenue hier, mardi 30 mars 2021, avec le ministre des Affaires étrangères, Othmane Jerandi, le président de la république, Kaïs Saïed, a exprimé son mécontentement des «rencontres dispersées entre des personnes et responsables en Tunisie et des responsables étrangers sans coordination préalable avec le ministère des Affaires étrangères».

Maher Madhioub rattrapé par son sombre passé de Rcdiste délateur

Le député Ennahdha Maher Madhioub, proche parmi les proches de Rached Ghannouchi et porte-flingue médiatique du président du parti islamiste et de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), connu pour son agressivité et son arrogance, est un ancien Rcdiste, membre du bureau exécutif des étudiants du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), parti au pouvoir sous la dictature de Zine El Abidine Ben Ali, et délateur monnayant les rapports qu’il établissait pour le régime sur ses camarades à l’université (voir documents ci-joints). Par Imed Bahri

Abdelfatteh Mourou à propos du présumé putsch : «Zbidi a induit Ennaceur en erreur»

L’ancien dirigeant d’Ennahdha et vice-président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Abdelfatteh Mourou, est revenu ce matin du mercredi 31 mars 2021, sur l’affaire du présumé putsch qu’il aurait eu l’intention de mener en 2019, selon une hypothèse de l’ancien président de l’ARP, Mohamed Ennaceur, exprimée dans sa biographie «Deux républiques et une seule Tunisie».

Ahmed Safi Saïd drague les islamistes pour détrôner Kaïs Saïed

Ahmed Safi Saïd veut devenir président de la république. Sa première tentative en 2019 a échoué, mais il n’est pas du genre à lâcher prise. Celui que les sondages situent à la seconde ou troisième position après Kaïs Saïed s’est construit une certaine popularité via le petit écran mais aussi et surtout sur le terrain. Cependant, cette popularité ne lui garantit pas l’accès au second tour de la prochaine présidentielle, en 2024. Pour pouvoir y accéder et mettre en ballottage le président en exercice, dont la popularité reste intacte malgré ses maigres «performances», a besoin de puiser dans un réservoir...

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