Révélations sur l’existence de pots-de-vin lors du «mercato parlementaire» : Le PDL saisit la justice

Face à la passivité du ministère public, qui n’a pas bougé le petit doigt suite aux déclarations dangereuses du député indépendant, Rached Khiari, selon lesquelles l’un des blocs parlementaires lui a proposé la coquette somme de 150.000 dinars pour le rejoindre, le Parti destourien libre (PDL) a décidé de saisir, lui-même, la justice. Une énième plainte qui, parions-le, le sera pas examinée par la justice tunisienne dont on apprécie la très grande indépendance !

Projet de la loi sur la protection des forces de sécurité : La société civile interpelle le président Saïed

Dans cette «Lettre ouverte au président de la république», datée du 14 octobre 2020, reproduite ci-dessous, des associations et des organisations non-gouvernementales rejettent la proposition du projet de la loi organique n°2015-25 relatif à la protection des forces de sécurité intérieure et de la douane.

Hichem Snoussi : «Ghazi Karoui est devenu réalisateur à la Kasbah»

Selon Hichem Snoussi, membre de la Haute autorité indépendante de communication audiovisuelle (Haica), le député de Qalb Tounes, Ghazi Karoui, frère du président du parti Nabil Karoui, a supervisé, depuis le Palais du gouvernement, à la Kasbah, le dernier discours du chef du gouvernement, Hichem Mechichi, qui a été diffusé sur la télévision nationale.

Mohamed Agrebi (Biat) élu président de l’APTBEF

Le conseil d’administration de l’Association professionnelle tunisienne des banques et des établissements financiers (APTBEF), réuni le mercredi 14 octobre 2020 à 8h00, conformément à ses statuts, a élu un nouveau président du conseil d’administration, Mohamed Agrebi, à la suite du départ à la retraite de Habib Ben Hadj Kouider.

Réflexion sur l’histoire des Arabes en Europe, de Charles Martel à la statue de sel

Le récit historique est souvent le reflet de préoccupations contemporaines à sa rédaction, et celui de l’Andalousie n’échappe pas à la règle de quelque côté que le narrateur puisse se situer. Le mythe ensorceleur du paradis andalou perdu opère toujours sur les Arabes comme le charme de Circé, il masque un avenir inquiétant où leur seule place reconnue résiderait dans les sables mouvants du désert d’où on prétend qu’ils soient venus. À force de regarder en arrière, la communauté de l’islam risque de se transformer, comme la femme de Loth, en statue de sel. Par Dr Mounir Hanablia *

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