Tunisie : Lecture dans le mouvement des ambassadeurs et chefs de postes diplomatiques

Entre promotions méritées mais aussi un parfum de vengeance avec des décisions arbitraires aussi injustes qu’injustifiées, lecture dans le mouvement des ambassadeurs et chefs de poste 2020 dont l’auteur estime qu’il exige quelques retouches. Othman Jerandi, ministre des Affaires étrangères et diplomate de carrière, doit prendre les choses en main et ne pas laisser de telles injustices se produire. Par Sémia Zouari *

Les Tunisiens doivent apprendre à se mettre… à «flow»

La société tunisienne actuelle se caractérise par l’éparpillement, la débrouillardise et la multiplication des tâches sans grande valeur ajoutée, mais aussi par l’installation d’une certaine facilité et une certaine paresse. Incitons alors nos compatriotes à prendre un chemin inverse, celui du travail bien fait, pour aider à sortir la Tunisie de la crise et relancer son processus de développement, car l’histoire ne se rappellera que des peuples qui ont travaillé dur et ont accompli des prouesses. Par Dr Lamia Mnasri Chenik *

Hassouna Nasfi : «Karoui n’avait rien à faire au déjeuner organisé à l’Assemblée et Mechichi a été piégé !»

«Hichem Mechichi s’est retrouvé face à des personnes qui s’étaient invitées et d’autres qui ont été imposées à ce déjeuner», estime Hassouna Nasfi, président du bloc la Réforme, en commentant la très controversée photo du déjeuner, qui avait réuni, le jour même du vote de confiance u nouveau gouvernement, le 1er septembre 2020, autour d’une même table, le chef du gouvernement, Rached Ghannouchi, président de l’Assemblée et du parti islamiste Ennahdha, Nabil Karoui, président de Qalb Tounes ainsi que les députés, Mabrouk Khachnaoui (Al Mostakbel) et Seïfeddine Makhlouf (Al Karama).

La médiocratie n’est pas une fatalité ou la preuve par quatre

Quatre membres du gouvernement Elyès Fakhfakh se sont illustrés en très peu de temps. Ils ont prouvé qu’on peut être ministre, travailleur, efficace, patriote et honnête homme et que la médiocratie, qui est notre lot en Tunisie depuis 2011, n’est pas une fatalité. Est-ce parce qu’ils étaient très bons qu’ils n’ont pas été retenus dans le gouvernement Hichem Mechichi ? Par Chedly Mamoghli *

error: Contenu protégé !!