La diplomatie tunisienne doit se réformer pour redevenir un outil de développement pour une Tunisie post révolution qui se cherche encore.
Étiquette : Beji Caid Essebsi
Francophonie : Quoiqu’ils fassent, Bourguiba n’a pu être effacé du sommet de Djerba…
Habib Bourguiba, l'homme de l'avenir, est souvent oublié par les hommes du passé, et du... passif.
Tunisie – Politique : la rupture démocratique
Sans défendre les causes et les effets des dernières décisions du président de la république, où beaucoup voient une menace à une bien improbable transition démocratique, il est certain que le climat politique malsain des dix dernières années en Tunisie a encouragé Kaïs Saïed à prendre le virage du 25 juillet dernier. Par Helal Jelali...
Pour beaucoup de Tunisiens, seule l’armée peut sauver la démocratie (vidéo)
Dans cette vidéo datant de l’époque de Béji Caïd Essebsi, en 2015, un septuagénaire disait déjà ce qu’une écrasante majorité de Tunisiens, qui soutiennent aujourd’hui le président Kaïs Saïed, pense et dit désormais à haute voix, à savoir que le pays est gangrené par la corruption, la spéculation et la contrebande, dont les citoyens continuent...
Tunisie : Au-delà des lamentations, nous sommes tous responsables du gâchis actuel
Depuis des années, tous les observateurs indépendants avaient fait le même diagnostic, la Tunisie va très mal : endettement insoutenable, corruption à tous les étages, pauvreté galopante, institutions républicaines bloquées et crise morale sans précédent… Mais ce n’est pas que la responsabilité des autres, nous sommes tous impliqués dans cet échec collectif, même si ce...
Ahmed Mestiri : Le grand président que la Tunisie n’a jamais eu
Ahmed Mestiri, le pionnier de la démocratie en Tunisie, décédé dimanche 23 mai 2021, à l’âge 96 ans, avait bien compris que le despotisme éclairé de Bourguiba ne conviendrait pas longtemps aux aspirations d’une population de plus en plus réfractaire. Par Francis Ghiles *
Ghannouchi sauve sa tête, c’est la Tunisie qui n’a pas fini de perdre la sienne
Il a manqué 12 voix à la Tunisie. En effet, les 97 voix pour la destitution du président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), le chef islamiste Rached Ghannouchi, n’ont pas suffi. Et quoi qu’en disent les perdants, il s’agit là d’une défaite lourde de conséquences pour le peuple tunisien. Par Mounir Hanablia *