Tunisie Telecom et Ooredoo Tunisie vont signer, demain, un premier contrat de partage de réseau d’accès radioélectrique (RAN Sharing).
Le contrat sera signé, vendredi 9 octobre, lors d’une cérémonie officielle, au siège de Tunisie Telecom aux berges du Lac de Tunis, par les dirigeants des deux entreprises, en présence de Noomane Fehri, ministre des Technologies de la communication et de l’Economie numérique.
Le partage de réseau d’accès radioélectrique (RAN Sharing) consiste en l’utilisation commune par les opérateurs concernés d’équipements actifs et de leurs fréquences assignées.
Ce partage des installations des réseaux mobiles de troisième génération est une solution où un unique réseau est construit et où l’opérateur hôte accueille les clients de l’autre opérateur (ou des autres opérateurs) sur ses fréquences dans une zone donnée.
L’équation économique pour les opérateurs est évidente : grâce au partage des réseaux sur les zones blanches, ils réduisent fortement les Capex liés au déploiement des infrastructures sur des zones géographiques moins rentables (coût d’investissement) et les Opex liés à l’exploitation de ses infrastructures (dépenses d’exploitation).
Tunisie Telecom et Ooredoo Tunisie vont signer, demain, un premier contrat de partage de réseau d’accès radioélectrique (RAN Sharing).
Le contrat sera signé, vendredi 9 octobre, lors d’une cérémonie officielle, au siège de Tunisie Telecom aux berges du Lac de Tunis, par les dirigeants des deux entreprises, en présence de Noomane Fehri, ministre des Technologies de la communication et de l’Economie numérique.
Le partage de réseau d’accès radioélectrique (RAN Sharing) consiste en l’utilisation commune par les opérateurs concernés d’équipements actifs et de leurs fréquences assignées.
Ce partage des installations des réseaux mobiles de troisième génération est une solution où un unique réseau est construit et où l’opérateur hôte accueille les clients de l’autre opérateur (ou des autres opérateurs) sur ses fréquences dans une zone donnée.
L’équation économique pour les opérateurs est évidente : grâce au partage des réseaux sur les zones blanches, ils réduisent fortement les Capex liés au déploiement des infrastructures sur des zones géographiques moins rentables (coût d’investissement) et les Opex liés à l’exploitation de ses infrastructures (dépenses d’exploitation).
I. B.
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