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L’« attentat » du Thalys : La blague de l’été

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Un «attentat» sans preuves ni témoins, des «héros» qui se prennent au jeu et des responsables politiques très prompts à la détente.

Par Dr Fethi El Mekki*

En Amérique du Sud, il y a 17 millions d’Arabes et pourtant, il n y a ni Mohamed Merah, ni les frères Kouachi, ni Mehdi Nemmouche et ni Ayoub El Khazzani… Depuis quelques temps, en France la folie est, à priori, à l’ordre du jour…

Le 21 août 2015, dans le Pas-De Calais, en France, un «attentat» par arme à feu a été déjoué, à bord du train à grande vitesse, le Thalys n°9364, reliant Amsterdam à Paris, grâce à l’intervention, de cinq voyageurs «courageux»… Puisqu’ils ont neutralisé un «islamiste», qui avait entre les mains un Kalachnikov, un pistolet automatique Luger et un cutter… Le train a été dévié vers Arras où le forcené a été livré aux autorités…

Le peuple de France est rassuré… Et quoi de plus beau… Si les sauveurs sont Américains…

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Cinq voyageurs «courageux» ont neutralisé un «islamiste» armé d’un Kalachnikov, d’un pistolet automatique Luger et d’un cutter. Pas d’autres témoins en dehors des cinq héros!

Ce conte de fées version long métrage hollywoodien où Sylvester Stallone joue les premiers rôles aurait pu passer inaperçu n’eut été les gags et les accointances des différents protagonistes avec des associations et des organisations dont la sulfureuse réputation met en doute la véracité de cette mise en scène qui fait penser au débarquement du 6 juin 1945… Tout en ressemblant étrangement à une co-production… anglo-américano-francaise…

Un mois et demi plus tard, le fumigène médiatique crée par les médias se dissipe… En fouinant, on arrive à voir plus clair… Et on distingue mieux les tentacules de l’ennemi…

Mesdames et messieurs, attachez vos ceintures et retenez votre souffle, le décollage est imminent…

Acte I : Agnès Ogier

Agnès Ogier est âgée de 49 ans, française, centralienne et directrice générale du Thalys depuis le 1er décembre 2014. Elle a effectué ses premiers pas professionnels entre 1990 et 1992, dans le conseil en stratégie… chez Booz Allen et Hamilton, une société partenaire du renseignement militaire Américain et en est l’un des principaux partenaires privés, puisque en 2013, l’hebdomadaire ‘‘Bloomberg Businessweek’’ (qui évoqua sur sa couverture une compagnie qui espionne pour l’Amérique) et le journal ‘‘Le Monde’’ ont décortiqué ses liens fructueux avec les services secrets et le Pentagone.

Ainsi on peut affirmer, sans sourciller, que cette charmante maman a travaillé pour le renseignement militaire yankee, deux  années…par le plus pur des hasards bien entendu.

Ayoub-El-Khazzani

Ayoub El Khazzani.

Acte II : Le présumé terroriste djihadiste

Ayoub El Khazzani, le «djihadiste» lourdement armé, arrêté, est un marocain connu pour être un bon vendeur de Lyca Espagne, une société de téléphonie, en Andalousie. Il a quitté l’Espagne, en février 2014, pour venir en France, suite à l’intervention d’Alain Joshimek, directeur de Lyca France, pour y être recruté le 3 février à Seine Saint-Denis.

Il a été licencié pour «un problème de papiers» deux mois plus tard… pour disparaitre ensuite dans la nature. Avant de le débaucher et le ramener d’Espagne, puis le licencier deux mois plus tard et le lâcher soi-disant dans la nature, n’aurait-il pas été plus simple de régulariser ses papiers avant de l’embaucher? Et surtout quelle stratégie d’embauche peut amener une entreprise française à recruter un sans-papier résident en Espagne?

Le 1er octobre 2015, Lyca Tunisie, filiale de Lyca Royaume-Uni, présente dans 19 pays, a ouvert des bureaux en Tunisie… Espérons que ce n’est pas pour mieux nous espionner !

Très petite cerise sur le gâteau, Alain Jochimek, ex-employeur d’El Khazzeri, est un représentant du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) auprès de la fonction publique israélienne et aussi vice-président du B’nai B’rith France. Simple coïncidence sans doute.

Le B’nai B’rith (les fils de l’alliance) est la plus vieille et la plus importante organisation juive internationale dans le monde, depuis sa création à New-York le 13 octobre 1843. Sa devise est ‘‘Bienfaisance, amour fraternel et harmonie’’, ça on l’a bien saisi. Lobby ultra-sioniste, basé à Washington, il agit en tant qu’une Ong et intervient à l’Onu, à l’Unesco, au Mercusor et au conseil de l’Europe à Bruxelles (rien que ça)… Il est exclusivement réservé aux israélites et dispose d’antennes dans une cinquantaine de pays… Il soutient la politique et la pérennité de l’Etat d’Israël ainsi que le mouvement sioniste, cela va sans dire.

Le B’nai B’rith France existe depuis 1932 et constitue la section la plus importante du district européen. Sa mission est de «réunir les juifs pour travailler en toute amitié, améliorer l’harmonie des communautés et surtout apporter de l’aide aux malheureux»… Il a fêté ses 80 ans dans les salons d’honneur (Eh oui !!!) de la mairie de Paris et est présidé par Serge Dahan, un homme qui affirme protéger l’image d’Israël et «développer un système de lobbying en faveur de la communauté juive de France»

Acte III : Frédérique Leturque

Dans ce fait, un record mondial dans les annales des décorations a été battu, puisque moins de 7 heures après «l’attentat», les «héros» ont reçu la médaille de la ville d’Arras, pour leur «héroïsme». De la part de son maire, Frédérique Leturque, qui porte bien son nom, puisque en cette période bénite, ce sont les Turcs qui sont le bras armé de qui on sait pour bien défoncer les Arabes. Ou du moins ce qu’il en reste. Là aussi, c’est le hasard qui ricane.

Avec «le Turc»  au moins les choses sont claires dès le début, puisqu’il est fondateur de l’Union des démocrates indépendants avec le député Franco-Israélien Meyer Habib et qu’il  déclare d’une manière compulsive : «Nous devons accepter l’idée que ces barbares ont déclaré la guerre à notre société et agir en conséquence»; «le terrorisme en s’attaquant aux  lieux de la vie quotidienne, ne poursuit qu’un objectif : créer une peur générale et permanente». Et hihihi et hahaha…

Et il est surtout, à priori, par une très heureuse coïncidence, depuis le 16 juin 2015, le co-directeur de la filiale française de l’institut Aspen, mais le meilleur reste à venir…

Fondé en 1949 aux Etats-Unis, à Aspen, au Colorado, cet institut est une éminente structure américaine, un très puissant lobby et est considéré comme le  second groupe de pression aux Etats-Unis auprès des parlementaires locaux, juste derrière le lobby pro-israélien.

Pour saisir l’envergure en termes d’influence de la maison mère qu’est cet institut, il suffit de consulter son conseil d’administration et ses mandataires à vie : Henry Kissinger, Condoleeza Rice, Madeleine Albright, Walter Issacson (ex-pdg de CNN), Laura Lauder (héritière de la compagnie Estée Lauder et affiliée à Ronald Lauder, président du congrès juif mondial), Robert Steel (ex-Goldman Sachs), Michael Eisner (ex-Pdg de Disney), etc. Bref rien que du lourd et du beau linge, et surtout des sionistes romantiques.

Parmi les membres de cet institut, on retrouve Paul F. Anderson, ancien représentant en France à Paris, de Booz Allen et Hamilton (ex-employeur d’Agnes Ogier). En juillet 2015, James Clapper, ancien de Booz Allen et Hamilton et actuel directeur du renseignement auprès de Barack Obama, a été  la vedette d’un forum organisé par l’institut Aspen.

Bref en se touchant le nez, on retrouve, toujours les mêmes aux manettes. C’est le principe des vases communicants, entre Aspen et Booz Allen.

L’Aspen France, se donne pour mission d’organiser des «dialogues dans un esprit ouvert et non-partisan» et son président du conseil de surveillance depuis Juin 2013, est Cyril F. Benoit, qui est aussi le co-fondateur de la fondation France-Israël (lobby sioniste présidé par l’arabophobe Nicole Guedj). La boucle est ainsi bouclée.

La direction de la filiale française comporte aussi une belle palette de personnalités «neutres» : Jean Pierre Jouyet, actuel secrétaire général de l’Elysée, Raphaiel Hadas (conseil d’état), Cyril Marin (banque Rothshild), Stéphane Roses (instituts de sondages), Bernard Spitz (Medef), Jean Lemierre, président du conseil d’administration de BNP Paribas, Michel Pebereau, ex-pdg de cette même banque et qui a dirigé ce même institut de 2004 à 2010. BNP Paribas étant un de leurs principaux sponsors.

Acte IV : Espion, journaliste et expert

Durant la soirée du 21 août et le lendemain, Claude Moniquet a envahi les chaines de «désinformation» française (LCI, RTL Info, France Info, iTélé, BBC, Radio 4). On l’a vu partout pérorer la même litanie et le même refrain : islam, islamistes, Iran, Syrie…
Celui qui est présenté comme un spécialiste du terrorisme et du renseignement est un agent des services de renseignement (DGSE) entre les années 1990 et 2010, camouflé en journaliste, ayant vécu dans un kibboutz en Israël, puisque «passionné» par ce pays…

Celui qui a surgi on ne sait d’où, après «l’attentat» du 11 septembre 2001, pour créer un «centre d’analyse et de renseignement» à Bruxelles, est un sioniste notoire et un conférencier du B’nai B’rith Europe, ainsi qu’un grand promoteur de la diabolisation de l’Iran au service de «The Israël Project», un think-tank basé à Washington…

Il a eu son petit quart d’heure de gloire lorsqu’il a affirmé mordicus sur LCI, après le massacre d’Anders Breivik en Finlande, que cet attentat ne peut être qu’islamiste. Les faits n’ont pas tardé à le démentir.

Il est aussi connu aussi pour avoir été traité par un député bruxellois socialiste, Jamal Ikazban, «d’ordure sioniste» à la suite d’un passage télévisé le 13 février 2013…

Acte V : La vidéo pour les gogos

Samedi 22 août à 6h36 du matin, le compte Twitter de la chaine CNN a relayé une vidéo capturée quelques minutes après l’affrontement du Thalys, filmée par l’un des «héros». Cette vidéo «exclusive» a été diffusée environ 90 minutes avant (en deux parties à 4h37 et 4h43) par le compte Twitter de Ahmed Meguini, journaliste et membre actif sur les réseaux sociaux d’un groupe de trentenaires, totalement dévoués à Caroline Fourest, essayiste très inspirée et très impliquée dans la nébuleuse sioniste internationale.

Ce jeune homme qui, très tôt, a tout compris de la vie et, très tôt, a choisi ses mentors, publie une tribune dans la revue ‘‘La règle du jeu’’ du chantre  des guerres humanitaires et philosophe de poche, Bernard Henry Levy, également éditeur de Mme Fourest.
Comment ce chanceux a-t-il pu obtenir une vidéo censée avoir été transmise uniquement – en exclusivité – à CNN ? Auprès de quel réseau ou individu a-t-il pu se procurer l’unique vidéo du Thalys ? On se retient de rire…

Hollande-décore-les-heros-du-Thalys

Les président Hollande, lors de la remise de la Légion d’honneur aux trois Américains et au Britannique (à gauche) qui ont su éviter l’attentat du Thalys.

Acte VI : Retour sur les faits

Le 21 août, vers 17h50mn, un ex-taulard incarcéré pour trafic de drogue en Espagne, a été arrêté… en sortant des toilettes du Thalys, armé d’un fusil d’assaut pour commettre «un carnage»… Il a été maitrisé, après une «empoignade», par un Français, un Britannique, homme d’affaires (sic) et trois Américains (à priori… un étudiant, un ambulancier de la force aérienne et un militaire de réserve), tous à mains nus.

L’attitude des «passagers» ayant arrêté le forcené a été saluée unanimement. Le chef de l’Etat, François Hollande, les a reçus le 24 août à l’Elysée (soit au bout de trois jours, alors que l’enquête est toujours en cours) pour les décorer de la légion d’honneur… Barack Obama aussi les a reçus à la Maison Blanche.

En remerciant les «héros», Hollande a insisté qu’il fallait éliminer Bachar El-Assad ! Que vient faire  El-Assad dans cette histoire?

Jusqu’à présent on frise le ridicule, maintenant on le dépasse, puisqu’on est dans le clownesque. M. Hollande a remercié au téléphone Barack Obama. Pourquoi? On n’en sait rien.

Tout cela aurait été bien beau n’eut été les cafouillages relevés à droite et à gauche…

Acte VII : Une France en souffrance

Tout d’abord, Il y a lieu de s’étonner du manque total de témoignages de passager du wagon, où les «héros» ont maitrisé le forcené. Zéro témoignage en plein mois d’août qui suppose des wagons bondés !! A croire qu’ils n’étaient que six dans le wagon…

Ensuite, à 23h55, le site de la chaine iTélé a mis en ligne le témoignage de Margaux, revenue d’un congrès à Anvers, passagère du train et présente dans le compartiment d’à côté, qui rejette catégoriquement le terme de fusillade. Un autre passager, Laurent, interrogé par BFM TV, affirme également n’avoir rien entendu. Une journaliste de Paris-Match, Charlotte Leloup, également présente, confirmera les dires de ces deux premiers témoins.

Ces déclarations contredisent la version officielle formulée lors de la conférence de presse, du 25 août par Francois Molins, procureur de la république de Paris et très proche de la mouvance pro-israélienne radicale qui évoque «l’usage d’une arme et plusieurs détonations entendues», que l’assaillant s’est motivé en écoutant un discours sur You Tube où «un inconnu exhortait ses fidèles à la prise des armes au nom du Prophète» (sic)… «Il avait une attitude résolue et ses idées étaient vraiment claires» (re-sic)…

Mais M. Mollins a omis de s’interroger sur l’information relayée par Martin Bruxant, journaliste politique Belge, 5 heures après «l’attentat», qui affirme que «des marines» suivaient le suspect dans le train depuis le départ à Bruxelles, sur la présence de toute la compagnie Marvel dans ce fameux wagon, ou sur le fait qu’il n’y avait aucun témoin oculaire.

Avec M. Molins qui s’est aussi «occupé consciencieusement» de  l’attentat de ‘‘Charlie Hebdo’’, on croit toujours que les limites de l’indécence et de l’impudence sont atteintes, mais on s’aperçoit que l’on peut encore faire mieux.

Acte VIII : L’homme sans visage

Le premier héros et intervenant est français. Il est âgé de 28 ans, diplômé de l’EDHEC et travaille à Amsterdam. C’est le non moins mystérieux Damien A. qui aurait été le premier à tenter de maitriser «l’islamiste». Ce dernier était dans les toilettes en train de charger son fusil d’assaut. Damien a été interpellé par le bruit du chargeur en passant à proximité. Ce qui l’a incité à l’attendre derrière la porte. Apparemment, c’est courant d’entendre quelqu’un charger son arme dans les toilettes, malgré le boucan dans le couloir d’un train.

Il a préféré garder l’anonymat. Il a été reçu ultérieurement à l’Elysée, à huit-clos à sa demande et la distinction honorifique lui a été remise entre quatre murs, loin des caméras et des photographes. Autant de discrétion c’est presque touchant !

Damien A. est employé par une filiale d’investissement de BNP Paribas à Amsterdam. Détail non moins amusant, BNP Paribas est parmi les principaux sponsors de l’institut Aspen France. Encore une fois, on est en présence de l’éternel principe des vases communicants. C’est presque lassant. Mais enfin qui cherche à terroriser les Français? Et pourquoi?

Même la fiction développée par John Le Carre dans son dernier roman d’espionnage ‘‘Une vérité si délicate’’ est dépassée par la réalité…

Manipulé à Sion

Ce conte de fées ressemble étrangement à un de ces analphabètes qui se fait recruter par ceux qui l’arrêteront le surlendemain (c’est plus pratique et plus facile de déjouer des attentats quand on les organise) comme l’a fait le FBI des dizaines de fois sur le sol américain depuis 2001 pour maintenir la tension sur ses citoyens.

Booz Allen et Hamilton, Institut Aspen, Fondation France-Israël, Crif, B’nai B’rith, Caroline Fourest… c’est les serpents qui dansent. Sans rire, c’était vraiment un attentat…

Puisque le 21e siècle est le siècle des coups de poignard de la mafia mondiale pour les coups tordus dans le dos du peuple français, la politique française est dans un état de décomposition avancée qui n’a pas beaucoup de précédent historique et son quotidien s’est transformé en une chronique de l’imbécilité ordinaire. Ses politiques n’ont plus, désormais, comme objectif, aujourd’hui, que de remporter le prix de l’humour politique et du mensonge apocalyptique…

Au vu de la machination diabolique associée à la désinformation, on a droit sur BFM, iTélé, LCI, sur les tribunes du ‘‘Monde’’, du ‘‘Figaro’’, et de ‘‘Libération’’, à la même bande son et aux mêmes mots-clés : islam et islamistes, et patati et patata, pour faire avaler à la France d’en bas la énième pilule.

L’envers du décor

En janvier 1918, dans sa fameuse déclaration en 14 points, le président américain Woodrow Wilson, en démocrate et idéaliste, avait défini l’orientation du monde de demain tel qu’il l’avait envisagée : le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, c’est-à-dire justice pour tous et toutes les nationalités… à l’instar des Syriens et des Libyens.

Il ne pouvait imaginer un instant que ses descendants, un siècle plus tard, allait recourir à l’agression et à la terreur et violer à l’envi le droit international sous prétexte de guerres humanitaires, tout en cherchant à montrer une image amicale de leur empire en prenant les gens pour des idiots.

L’attentat du Thalys tente de salir l’islam une énième foi, et de redorer l’image des yankees auprès de l’opinion publique française, après l’esclandre de Wikileaks, en juin 2015, révélant l’espionnage massif des dirigeants de leur pays par la NSA.

Peine perdue car jusqu’à aujourd’hui, ce sont les Américains qui ont tué le plus de personnes au monde et aucune nation n’a menacé la survie de l’humanité comme cet Etat voyou…

Cette mascarade associant le Ketchup yankee et la boue sioniste ne peut plus continuer. Mais ne désespérons pas. Restons quand même un brin optimiste. Car, comme le résume Jean-Baptiste Duroselle dans le titre de son livre ‘‘Tout Empire périra’’, l’empire américano-sioniste implosera inéluctablement. Et c’est pour bientôt…

* Pneumo-allergologue.

NB : La Compagnie Marvel : Maison d’édition américaine de bandes dessinées dont les héros sont : Spider Man, X-Men, Hulk, Iron Man, Captain America…

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