Nous publions ci-dessous le droit de réponse du Groupe Jeune Afrique à l’article ‘‘Yassine Brahim n’y va pas avec le dos de la cuillère’’, paru dans Kapitalis le 23 avril 2016.
«Le Groupe Jeune Afrique et ses responsables ont été cités de manière tendancieuse à l’occasion de plusieurs articles parus sur votre site, traitant de l’attribution de l’appel d’offres pour la promotion du plan quinquennal.
Une photo de membres de la famille Ben Yahmed dans les locaux du Consulat de Tunisie à Paris, à l’occasion de formalités administratives d’ordre strictement privé, a été instrumentalisée pour faire croire à une intervention en vue de l’attribution du marché.
Un prétendu lien de cause à effet a été inventé pour induire les lecteurs en erreur.
Le Groupe Jeune Afrique déplore la diffusion de telles informations, calomnieuses et diffamatoires, dénuées de tout fondement, sans avoir fait les vérifications d’usage»
La rédaction :
Puisque le Groupe Jeune Afrique affirme, dans son droit de réponse, que la famille Ben Yahmed se trouvait dans les locaux du Consulat de Tunisie à Paris, «à l’occasion de formalités administratives d’ordre strictement privé», qui n’ont rien à voir avec l’attribution, le même jour, de l’appel d’offres pour la promotion du plan quinquennal à un groupement de sociétés… dont fait partie le Groupe Jeune Afrique, nous le croirons sur parole. Nous espérons que nos lecteurs le croiront aussi, car la coïncidence a de quoi nourrir les supputations, d’autant que la même semaine, Jeune Afrique accordait sa couverture au chef du gouvernement tunisien Habib Essid, avec un entretien exclusif.
Coïncidence, coïncidence…
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