La cour d’appel de Tunis a décidé de maintenir le verdict rendu en première instance dans l’affaire d’Imed Dghij pour menaces au président de la république.
Cet agitateur islamiste, membre de la Ligue de protection de la révolution (LPR), une milice violente au service du parti Ennahdha, dissoute le 26 mai 2014 par décision de justice, avait été condamné, le 30 mai 2016, par le tribunal de 1ère instance de Tunis, à 3 mois de prison avec sursis et à une amende de 300 dinars.
Rappelons qu’Imed Dghij avait proféré des menaces sur les réseaux sociaux à l’encontre de Béji Caid Essebsi, s’il remportait l’élection présidentielle de 2014.
E. B. A.
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