C’est une Abir Moussi dynamique et sportive, entourée des jeunes de son parti qui est apparue lors de la rencontre des jeunes destouriens s’adonnant notamment au beach volley et au tennis.
Loin de l’image lugubre, agressive et grossière de ses adversaires d’El Karama, archaïque d’Ennahdha ou dépassée du président de la république Kaïs Saïed encore coincé à l’époque de Taha Husseïn et Ilya Abou Madhi.
C’est aussi un sacré revers pour on autre adversaire, l’affairiste Nabil Karoui Karoui, président de Qalb Tounes, qui se la joue en maître de la Com’; et bien celle que ses partisans appellent par son prénom, Abir, lui a ravi son électorat mais aussi son domaine la Com’ qu’elle maîtrise désormais bien mieux que lui.
La présidente du Parti destourien libre (PDL) est en train d’améliorer son image loin de l’hystérie, de l’excitation et de l’amateurisme de la période du début de la législature. Elle est en train de se bâtir une image de responsable politique sérieuse et mûre, dont le programme ne se résume pas à l’hostilité viscérale aux «khouanjia» (les islamistes).
I. B.
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