Si dialogue national il y aura, le mouvement Ennahdha et le président de la république Kaïs Saïed (ennemis jurés depuis quelques mois) devront tous les deux y faire part ! Tel est le souhait de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), exprimé, ce mercredi 9 février 2022, par son secrétaire général adjoint, Samir Cheffi.
Dans une déclaration accordée à Middle East Monitor, Cheffi a affirmé qu’il était hors de question que le dialogue national soit une source de crise, réitérant la volonté de la centrale syndicale à n’exclure aucune partie.
C. B. Y.
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