La demande de libération de la mairesse de Tabarka, Amel Aloui, a été rejetée par le juge d’instruction chargé de l’affaire ai sein du Tribunal de première instance de Jendouba.
C’est ce qu’a indiqué l’avocat et membre du comité de défense de l’accusée, Lotfi Saoudi, selon lequel le rejet a été implicite, suite à la sortie du juge en vacance annuelle, après l’écoute du représentant de l’Agence de protection et d’aménagement du littoral (Apal).
Cela nécessite, selon lui, le respect du délai légal de 4 jours pour le dépôt d’un recours auprès de la chambre de mise en accusation de la Cour d’appel de Jendouba.
C. B. Y.
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