Veillées d’armes pour la sélection de Tunisie avant le premier choc avec la RDC, demain, vendredi, 1er septembre 2017, à 21 heures, au stade de Radès.
Optimiste, Nabil Maaloul, le coach tunisien, mesure tout de même le poids de l’enjeu de ce face-à-face: «J’ai dit aux joueurs qu’ils vont disputer les deux rencontres les plus importantes de leur carrière».
L’équipe de Tunisie accueillera la République démocratique du Congo (RDC) cinq jours avant de se rendre à Kinshasa pour la seconde manche de cette rencontre phare du groupe A des éliminatoires africaines du championnat du monde de football, Russie 2018.
Après deux succès face à la Guinée en Tunisie puis à la Libye, la Tunisie est en tête de son groupe avec la RDC, bien décidée à se qualifier pour la compétition mondiale. C’est pourquoi Maâloul se méfie des Léopards.
«La RDC a énormément progressé ces dernières années avec des joueurs qui évoluent dans de grands clubs européens. Ce sont de vrais concurrents. Chaque fois que j’ai affronté le Vita Club et le TP Mazembe, j’ai pu mesurer la puissance et le talent des Congolais», a-t-il déclaré.
Après avoir disputé trois Coupes du Monde de suite (France 1998, Corée/Japon 2002 et Allemagne 2006), la Tunisie a manqué les deux dernières éditions. Elle rêve aujourd’hui de revenir sur la scène mondiale.
«Ce rêve n’est pas seulement le mien, mais celui de tout les Tunisiens et de tous ceux qui travaillent de près ou de loin avec l’équipe nationale», ajoute Maâloul. Et de conclure sur une note positive: «En tant que sélectionneur et premier responsable de l’équipe, je suis optimiste quant à nos chances de qualification.»
H. M.
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