Aujourd’hui, les États membres de l’Union européenne (UE) ont approuvé la sortie de la Tunisie de la liste des juridictions non-coopératives en matière de fiscalité des entreprises.
A ce propos, on peut lire ceci dans le mémo (Questions & Réponses), diffusé aujourd’hui, mardi 12 mars 2019 : «À la suite des engagements pris en 2017, de nombreux pays ont maintenant mis en œuvre les réformes et les améliorations promises et 25 pays du processus de sélection initial ont été clarifiés: Andorre, Bahreïn, Îles Féroé, Groenland, Grenade, Guernesey, Hong Kong, Isle de Man, Jamaïque, Jersey, Corée, Liechtenstein, Macao, Malaisie, Montserrat, Nouvelle-Calédonie, Panama, Pérou, Qatar, Saint-Marin, Saint-Vincent-et-les Grenadines, Taïwan, Tunisie, Îles Turques-et-Caïques et Uruguay».
Traduire : la Tunisie, qui a mis en place les réformes nécessaires, ne figure plus sur la liste dite «noire» des pays exposés au blanchiment d’argent et au financement du terrorisme où elle figurait jusque -là.
I. B.
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