Appelée de ses vœux par la chambre des concessionnaires automobiles, la libéralisation du marché de l’automobile n’aurait lieu qu’après la fin des négociations de l’Aleca.
C’est ce qu’a révélé Slim Chaker, ministre des Finances, lundi 16 novembre 2015, lors de son audition par la Commission des Finances de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) sur la loi de finances 2016.
Le grand argentier a expliqué à cette occasion que l’Etat entendait obtenir, lors des négociations de l’Accord de libre-échange complet et approfondi (Aleca) entre la Tunisie et l’Union européenne, une contrepartie à l’ouverture du marché de l’automobile.
Ces négociations doivent commencer en mars 2016.
Nabil Ben Ameur
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