Selon, Taoufik Chebbi, secrétaire général adjoint de la Fédération générale de l’enseignement de base (affiliée à l’UGTT), la rentrée scolaire de cette année ne sera pas «naturelle», et ce à cause de quelques problèmes, notamment celui des postes vacants
A travers des déclarations médiatiques, le syndicaliste a indiqué qu’l y a près de 5.600 postes vacants, ajoutant que cela mettra la pression sur le cadre éducatif et se traduira par des départements surchargés et une flambée du système de groupes, ce qui affectera négativement, selon lui, le droit aux études.
Chebbi a également regretté le fait que plus de 400 écoles sont privées d’eau potable et d’installations sanitaires.
Concernant les erreurs dans certains manuels, il a affirmé que le comité de rédaction n’en porte pas la responsabilité, «car il est clair qu’il s’agit d’erreurs typographiques, ou peut-être qu’il y a des parties qui cherchent à saboter», selon ses dires.
C. B. Y.
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