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Catégorie : TRIBUNE

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Mais où est passé Al Badil Ettounsi ?

Créé dans l’euphorie en 2017, avant de rentrer rapidement dans les rangs, Al Badil Ettounsi persiste à tirer sur sa corde préférée – la «technocratie» – pour (ré-)imprégner, auprès d’une classe politique déroutée ainsi que d’une technostructure gouvernante perturbée, avec peu d’idées opératoires et, surtout, sans cap stratégique, le statut de «stat-up politique» et de...

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Tunisie : L’Assemblée sous le règne de l’incurie, au nom d’Erdogan et de Sissi

La Tunisie souffre de deux maux chroniques : un parlementarisme corrupteur et un corporatisme pervers, alors que la crise que vit le pays impose un Etat et des institutions forts. En l’absence d’un impossible consensus sur la société et l’avenir, s’il fallait choisir entre Sissi et Erdogan, il faudrait en tous cas se souvenir que...

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Cause du bilan catastrophique des années 2011-2020 : on a détruit l’ancien sans construire le nouveau

La contre-performance économique de la Tunisie durant la période 2011-2020, la pire décennie depuis l’indépendance du pays, est surtout le produit de l’absence de vision, de l’incompétence, de la mauvaise gouvernance et de l’obstination des gouvernements successifs à «détruire l’ancien sans construire le nouveau». Par Taoufik Baccar *

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El-Kamour : Un déclic pour réintégrer les régions intérieures dans le système économique national

Au-delà des manipulations politiciennes, en lien avec la situation en Libye et avec les réseaux de contrebande et de trafics de toutes avec ce pays voisin, les protestations dans la région d’El Kamour, au gouvernorat de Tataouine, montrent qu’aujourd’hui, l’Etat tunisien n’a pas de politique destinée au développement des régions intérieures. Par Amine Ben Gamra...

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Crise de gouvernement en Tunisie : La solution, c’est la dissolution de l’Assemblée

Après la démission du chef du gouvernement Elyès Fakhfakh et le début hier, jeudi 16 juillet 2020, des concertations pour lui trouver un successeur, la solution optimum, face à la gravité de la crise politique actuelle en Tunisie, c’est peut-être la dissolution de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et la tenue de nouvelles législatives...

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Cour constitutionnelle : Ne laissons pas faire les islamistes !

Les Tunisiens laïques et progressistes gagneraient à faire pression pour éviter que les islamistes d’Ennahdha ne parviennent pas à installer leurs larbins à la Cour constitutionnelle et faire en sorte que de brillants universitaires tels que Sadok Belaïd, Slim Laghmani, Salsabil Klibi, Yadh Ben Achour, Amine Mahfoudh et Sana Ben Achour, lesquels sont d’excellents juristes,...

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