L’auteure américaine de cette tribune estime que la «transition démocratique en Tunisie est en train de dévier de sa route.» Par Sarah Yerkes *
Catégorie : TRIBUNE
La famille Chaker ou les risques de la politique
La mort de Slim Chaker réveille le souvenir de celle, plus terrible, dans l’histoire familiale, du grand-père du défunt ministre de la Santé. Par Jamila Ben Mustapha *
Migration clandestine : Tous complices de l’holocauste moderne en Méditerranée
La responsabilité de l’Europe est grande dans les drames de la migration clandestine, causée par sa politique migratoire inepte et inhumaine. Par Farhat Othman *
Tunisie – FMI: Décryptage du discours de Lagarde à Harvard
Pour le FMI, la Tunisie doit accélérer la cadence des réformes préalablement au déblocage de la nouvelle tranche d’un prêt de 2,9 milliards de dollars US. Par Asef Ben Ammar, Ph.D.
Pour mieux connaître les maladies psychiatriques
Parce qu’on a peur de ce qu’on ne connaît pas, les maladies psychiatriques alimentent des mythes et des préjugés que l’auteure tente de dissiper. Par Dr Wafa Abdelghaffar *
Slim Chaker : La force du destin
Ce dont il faut parler, ce sont les circonstances qui ont vu Slim Chaker, ministre de la Santé, décéder après une manifestation de solidarité avec les cancéreux. Par Dr Mounir Hanablia
Bloc-notes : La Tunisie souffre surtout d’un déficit de… conscience
Qui de nos politiciens peut honnêtement prétendre avoir bonne conscience dans un pays délabré et qu’on veut délabrer encore plus. Par Farhat Othman *
Economie tunisienne : Tous les clignotants sont au rouge
Le tableau de l’économie tunisienne n’est pas aussi que le présentent certains rose et les chiffres officiels sont là pour le prouver. Par Ezzeddine Saïdane *
Le baiser est interdit dans une Tunisie défigurée
Que les amis de la Tunisie le sachent donc : le baiser est interdit en public sur cette terre qu’on dit accueillante ! Par Farhat Othman *
Visite de Caïd Essebsi à Sousse : La confusion des rôles
Par la confusion des rôles qu’elle a induite, la visite de Béji Caïd Essebsi à Sousse a rappelé aux Tunisiens le détestable souvenir du chef dominant et du culte de la personnalité. Par Noura Borsali *