La joueuse de tennis tunisienne Ons Jabeur s’est qualifiée, ce lundi 2 mai 2022, pour les quarts de finale du tournoi de Madrid, en Espagne.
Tunisie : Kaïs Saïed, la fleur au fusil
Kaïs Saïed a transformé ses vœux aux Tunisiens à l’occasion de l’Aïd Al-Fitr, hier soir, dimanche 1er mai 2022, en une énième déclaration de guerre à ceux qui cherchent à saboter les institutions de l’État, à exacerber les tensions et à empoisonner le climat général du pays. S’il voulait plomber une atmosphère déjà plombée par la crise, le président de la république ne serait pas comporté autrement. Par Imed Bahri
Tunisie : l’UGTT et l’œuvre inachevée de Kaïs Saïed
Pour Noureddine Taboubi, le tournant du 25 juillet 2021, soutenu par son organisation, en ce qu’il annonçait la rupture avec une période d’instabilité politique et de crise économique et sociale, a dévié de ses objectifs. Et le président Saïed, qui avait alors affirmé sa volonté d’organiser un dialogue national, doit tenir sa promesse et lancer ce dialogue au plus vite, avant qu’il ne soit trop tard, a-t-il déclaré. En laissant entendre que l’UGTT est prête à organiser ce dialogue. Par Imed Bahri
Tunisie : Les précisions du ministère des Affaires culturelles sur son partenariat avec le Festival Manarat
Suite au communiqué de la direction du Festival Manarat, le ministère des Affaires culturelles a souhaité précisé certains points liés à l’organisation de la 3e édition du Festival, dénonçant une campagne de diffamation de la part de la direction du festival quant aux nouvelles réformes menées par le ministère.
Tunisie : Kaïs Saïed et la république des constitutionnalistes
Le projet de réforme du système politique sera-t-il fin prêt dans les délais pour être soumis au référendum populaire dont la date est fixée au 25 juillet prochain ? Malgré les assurances en ce sens présentées par le président Saïed, l’affaire est loin d’être entendue, même si l’opposition sera écartée de tout débat à ce sujet. Par Imed Bahri
Tunisie : Kaïs Saïed, le peuple, l’Histoire et l’Eternité
Dans un discours prononcé dimanche soir, 1er mai 2022, à l’occasion de la célébration simultanée de l’Aïd Al-Fitr et de la fête du travail, le président Kaïs Saïed est à nouveau monté sur ses grands chevaux et, en guise de vœux aux Tunisiens, à tous les Tunisiens sans exception, il s’est lancé, plus martial que jamais, dans une série de menaces et d’anathèmes à l’encontre de ses opposants qu’il a qualifiés d’ennemis de l’Etat et du peuple. Par Imed Bahri
Tunisie : Le ministère des Affaires culturelles annule son partenariat avec le Festival Manarat
Le comité directeur du Festival Manarat vient d’annoncer qu’il se retire de l’organisation de la 3e édition du festival, suite à la décision du ministère des Affaires culturelles d’annuler son partenariat avec le festival.
Le conflit russo-ukrainien pourrait constituer une opportunité pour l’industrie tunisienne
Au-delà d’une gestion optimale de la pression sur le budget de l’Etat que pourrait engendrer le conflit russo-ukrainien, la Tunisie devrait réfléchir aux moyens de tirer profit des opportunités que ce conflit apporte à l’industrie tunisienne, notamment les secteurs du textile-habillement et des composants automobiles.
Tunisie – Politique : Ahmed Néjib Chebbi, soif de pouvoir et cécité politique
Toutes les personnalités politiques qui se sont alliées au parti Ennahdha ou ont été adoubées par lui l’ont chèrement payé en perdant toute crédibilité aux yeux des Tunisiens. C’est le cas de Moncef Marzouki, Mustapha Ben Jaâfar, Béji Caïd Essebsi, Youssef Chahed, Nabil Karoui, Hichem Mechichi, pour n’en citer que les plus importants. Et c’est aujourd’hui le cas de Ahmed Nejib Chebbi, dont la popularité, déjà très faible au départ, subit les conséquences de son alliance tapageusement affichée avec le mouvement islamiste. Par Imed Bahri
Retour à Dahmani : redonner une sépulture à M. et Mme Joiffre !
Dans ce témoignage posté sur Facebook, l’auteure déplore l’état où elle a trouvé la tombe de deux Français, M. et Mme Joiffre, qui, à l’indépendance de la Tunisie, avaient refusé de quitter leur pays de cœur et choisi d’y mourir et de reposer à Dahmani, dans «une tombe pour deux, une tombe d’amoureux». Une sépulture aujourd’hui violée par des pilleurs sauvages. Ce témoignage poignant interpelle la conscience de tous les patriotes tunisiens qui voient leur pays aller à vau l’eau, abandonné par ses propres enfants. Par Fawzia Zouari *