BCT : Pour la création d’un fonds de relance pour soutenir les entreprises fragilisées par la crise sanitaire

Le Comité de surveillance macro-prudentielle et de gestion des crises financières relevant de la Banque centrale de Tunisie (BCT), propose la création d’un fonds de relance destiné à soutenir les entreprises fragilisées par la crise sanitaire liée au coronavirus, et afin d’assurer les conditions propices à leur relance.

Polémique du passeport spécial obtenu par Makhlouf : Les précisions du ministère de l’Intérieur

Actuellement en Suisse pour une mission parlementaire en sa qualité de président de la commission des blessés et des martyrs de la révolution, le député de la coalition Al-Karama, Seifeddine Makhlouf, a illégalement obtenu un passeport spécial pour s’y rendre. Suite à des rumeurs selon lesquelles il s’agirait d’un passeport diplomatique délivré par le gouvernement, le ministère de l’Intérieur a publié des précisions à ce sujet.

Il y a 4 ans, l’attentat de Berlin : les parrains du terrorisme devront payer tôt ou tard

Le 19 décembre 2020, quatre ans jour pour jour sont passés depuis l’attaque terroriste perpétrée par le Tunisien Anis Amri, à Berlin, en Allemagne. En ce triste anniversaire, on pense aux extrémistes islamistes parmi nous, qui ont ancré la culture de la mort et de la destruction dans l’esprit de nos jeunes et qui devront tôt ou tard rendre compte de leurs crimes sanguinaires contre des dizaines de victimes innocentes ainsi que l’image et les intérêts de la Tunisie. Par Elyes Kasri *

La Fondation Biat pour la jeunesse célèbre la finale inter clubs du programme Spark

Le programme Spark constitue la première rencontre entre les jeunes de 15 à 18 ans avec le monde de l’entrepreneuriat. A travers ce programme, la Fondation Biat développe la culture d’entreprendre auprès des jeunes lycéens et étudiants et les incite à appréhender et à découvrir le monde de l’entrepreneuriat de façon interactive et ludique.

Santé: la sécurité du personnel au sein de l’hôpital, cette nécessité toujours ignorée

Les actes de violence physique dans l’hôpital, toujours condamnés, toujours renouvelés, se multiplient, se perpétuent, font tache d’huile, au point d’être désormais perçus comme des phénomènes consubstantiels à l’institution hospitalière publique, dans notre pays. Faut-il les considérer comme des faits de société inhérents à la dégradation morale et matérielle que traverse un pays qui a perdu ses repères? Par Dr Mounir Hanablia *

error: Contenu protégé !!