Coronavirus : 8 nouveaux cas dépistés en Tunisie

Le ministère de la Santé a annoncé aujourd’hui, mardi 21 juillet 2020, avoir enregistré 8 nouveaux cas de coronavirus, tous importés. Le nombre de contaminations dépistées, depuis l’apparition de la pandémie en Tunisie, le 2 mars dernier, s’élève désormais à 1389, dont 1103 guérisons et 50 décès.

Pourquoi Ghannouchi et Karoui redoutent-ils la dissolution de l’Assemblée ?

Le feuilleton de mauvais goût servi à tout un pays depuis l’avènement de l’actuelle législature parlementaire est sans précédent. Une ambiance délétère accentuée par la présidence catastrophique de l’institution parlementaire par le très clivant Rached Ghannouchi, une élection rendue possible par les députés de Qalb Tounes, le parti de Nabil Karoui. À l’heure où les appels se multiplient réclamant la dissolution de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) pour mettre fin à ce spectacle de grand guignol, Ghannouchi et Karoui redoutent ce spectre. Un vrai cauchemar pour eux. Mais une vraie délivrance pour les Tunisiens. Par Imed Bahri

Oubliant ses frasques, Fayçal Tebini dénonce le niveau très bas prévalant à l’Assemblée

Dans une allocution lors d’une séance plénière à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), aujourd’hui, mardi 21 juillet 2020, le député Fayçal Tebbini ‘Voix des Agriculteurs) a accusé le député de la coalition pseudo-révolutionnaire Al-Karama Mohamed Affès ainsi que des députés d’Ennahdha d’avoir interrompu sa discussion avec un journaliste et d’avoir tenté de l’agresser.

«Pour la stabilité du pays, Ennahdha doit faire partie du prochain gouvernement», menace Imed Khemiri

La personnalité la mieux à même de former un gouvernement, qui sera prochainement choisie par le président de la république, Kaïs Saïed, ne doit pas se passer de son mouvement, a déclaré Imed Khemiri, porte-parole d’Ennahdha. «Et ce, pour la stabilité du pays», a-t-il ajouté ce mardi 21 juillet 2020. Et cela sonne comme une menace…

Le «missile» de Kais Saied : l’article 80, un bijou constitutionnel

Pour un «missile», c’en est un, mais il s’agit d’un «missile» constitutionnel. Et on en trouve dans la Constitution tunisienne de 2014, que le président de la république Kaïs Saïed a brandie sur la tête de tous les acteurs de la scène politique, incapables d’assurer la stabilité au sein des institutions publiques, alors que le pays traverse «l’une des phases les plus périlleuses de son histoire», selon les termes même du chef de l’Etat. Par Helal Jelali *

Coronavirus : La Tunisie renforce le contrôle sanitaire aux frontières (Vidéo)

Le contrôle sanitaire sera renforcé dans les ports, les aéroports et les postes frontières et ce, dans le cadre de la prévention de la propagation du coronavirus en Tunisie, annonce le Comité scientifique chargé du suivi de la pandémie, à l’issue de sa réunion périodique, avec la présidence du gouvernement, aujourd’hui, mardi 21 juillet 2020.

Qalb Tounes devrait remplacer Ennahdha dans la prochaine coalition gouvernementale, laisse entendre Khaled Krichi

Selon le député du mouvement Echaâb, Khaled Krichi, les tractations autour du choix du prochain chef de gouvernement entre les blocs parlementaires ayant signé la motion de destitution du président du Parlement, Rached Ghannouchi, ainsi que Qalb Tounes et les organisations nationales, pourraient aboutir à la présentation d’un candidat unifié au président de la république, Kaïs Saïed, et à la mise à l’écart du mouvement Ennahdha du prochain gouvernement.

Mais où est passé Al Badil Ettounsi ?

Créé dans l’euphorie en 2017, avant de rentrer rapidement dans les rangs, Al Badil Ettounsi persiste à tirer sur sa corde préférée – la «technocratie» – pour (ré-)imprégner, auprès d’une classe politique déroutée ainsi que d’une technostructure gouvernante perturbée, avec peu d’idées opératoires et, surtout, sans cap stratégique, le statut de «stat-up politique» et de parti «fournisseur de solutions». Par Mahmoud Abdelmoula *

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