Mouvement El-Kamour : Les sit-inneurs menacent de fermer la pompe à pétrole ce jeudi

La coordination du mouvement El-Kamour (Tataouine) a annoncé aujourd’hui, lundi juillet 2020, que les sit-inneurs fermeront, à partir de ce jeudi, 16 juillet, la pompe à pétrole de la région, si le gouvernement n’active pas les points de l’accord signé le 16 juillet 2017 et qu’il ne répond pas favorablement à leurs demandes.

Saïed répond à Ennahdha : «Je ne me concerterai pas autour d’un nouveau gouvernement tant que Fakhfakh est en exercice de ses fonctions»

Au lendemain de l’annonce d’Ennahdha de sa décision de commencer les concertations avec, notamment, le président de la république, Kaïs Saïed, autour de la formation d’un nouveau gouvernement, la réponse de ce dernier a été directe et sans équivoque : il n’entamera aucune discussion à ce propos, tant que le chef du gouvernement actuel, Elyes Fakhfakh, est en exercice de ses fonctions.

La mosquée Hagia Sophia d’Istanbul, de Mohamed le conquérant a Erdogan le bas…

En transformant Hagia Sophia en mosquée et en récoltant des manifestations internationales d’hostilité, Erdogan pratique une politique cynique qui, par ricochet, donne de justes arguments aux colons juifs israéliens désireux de détruire les mosquées Al-Aqsa et Essakhra, de Jérusalem, pour le faire. Par Mounir Hanablia *

Pour Me Ben Halima, Kaïs Saïed peut être un gendre idéal mais pas un président de la République

L’avocat et activiste Imed Ben Halima a publié un post sur son compte Facebook, aujourd’hui, lundi 13 juillet 2020, où il affirme que ni le président de la République Kaïs Saïed ni ses conseillers n’ont aucune expérience pour dompter les dirigeants islamistes et il leur conseille de s’adresser à «ahl al-dhikr» (ceux qui connaissent bien ces derniers).

Abdelkarim Harouni : «Nous ne craignons pas les élections anticipées»

Ennahdha ne craint pas d’éventuelles élections législatives anticipées, selon le président du conseil de la Choura du parti, Abdeklkarim Harouni. Des élections qui pourraient être inévitables si les différentes parties de la scène parlementaire tunisienne ne se résolvent pas à trouver des concessions pour dépasser la crise politique actuelle.

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