Le mufti de la Tunisie : Faire don de l’argent consacré au pèlerinage est religieusement légal

Puisque le pèlerinage islamique (al-haj) sera vraisemblablement annulé cette année, comme ça a été le cas pour la ômra, certains musulmans songent à faire don des dépenses qu’ils allaient faire, dans le cadre de ces préceptes religieux, au profit des plus démunis, particulièrement touchés par la crise sanitaire mondiale du coronavirus, ou de l’Etat tunisien qui lutte contre la pandémie. Qu’en pense le mufti tunisien, Othman Battikh ?

Hichem Mechichi : Les patients Covid-19 qui refuseront de s’isoler peuvent être poursuivis pour meurtre

La sonnette d’alarme a été plus que jamais tirée cet après-midi du mardi 7 avril 2020, lors de la conférence de presse tenue par les ministres de la Santé et de l’Intérieur, respectivement, Abdellatif Mekki et Hichem Mechichi. Le pays est en train de connaître un nouveau tournant dans sa guerre contre le coronavirus.

Un «soldat blanc» nommé Ahmed Ben Miled

En cette période où l’humanité entière rend hommage aux blouses blanches, les «soldats blancs» de la guerre contre le coronavirus (Covid-19), l’auteur se souvient de son père, Ahmed Ben Miled, l’un des pionniers de la médecine moderne en Tunisie, grand humaniste qui sut toujours être aux côtés des plus faibles et des plus démunis. Par Farouk Ben Miled *

La Tunisie est capable de produire 1 million de bavettes médicales par jour, selon le président de la FTTH

Lorsqu’on sera rendus au dé-confinement, le port des bavettes médicales sera obligatoire pendant un certain temps, car c’est un moyen incontournable de diminuer le risque de contamination au coronavirus, Covid-19. Alors que le marché national (et même international) de ces masques chirurgicaux souffre de pénurie, Hosni Boufaden, président de la Fédération tunisienne du textile et de l’habillement (FTTH), pense que le secteur a les ressources pour contribuer à la résolution de ce problème.

Covid-19 – Tunisie : Les entreprises dans la tourmente de la crise sanitaire

En Tunisie, comme partout dans le monde, l’économie va subir une perte dont l’ampleur est difficile à prédire mais dont les répercussions négatives seront sûrement énormes. L’activité économique pourrait certes redémarrer un peu plus tard dans l’année, mais on devrait envisager des scénarios moins favorables… sans pour autant céder à la panique. Par Amine Ben Gamra *

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