On peut ne pas aimer Hichem Mechichi, critiquer ses politiques, exécrer ses alliances et vouer son gouvernement aux gémonies (et, à Kapitalis, nous ne sommes pas tendres avec lui, et c’est un euphémisme). On doit, cependant, avoir de véritables griefs à lui reprocher et ne pas faire feu de tout bois, car à trop souhaiter...