Bernardino León au centre.
Douze pays, dont la Tunisie, appellent toutes les parties libyennes à accepter l’accord conclu sous l’égide du représentant spécial des Nations Unies, Bernardino León.
L’appel été lancé par les ministres des Affaires étrangères de 12 pays (Tunisie, l’Algérie, la France, l’Allemagne, l’Italie, le Maroc, le Qatar, l’Espagne, la Turquie, les Emirats Arabes Unis, le Royaume Uni et les Etats-Unis), auxquels s’est joint le Haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères.
Cet appel, publié lundi 19 octobre par le Département d’Etat américain, est une menace à peine voilée aux factions libyennes qui n’accepteraient pas l’accord.
«Les Libyens ayant démontré clairement qu’ils veulent la fin de l’instabilité dans leur pays, une instabilité qui a mené à la perte de vies, a permis au terrorisme de se développer, et sévèrement endommagé l’économie du pays», souligne le communiqué, ajoutant que la communauté internationale «se tient prête à soutenir le peuple libyen et les leaders qu’il choisira».
Nabil Ben Ameur
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