La majorité des 9500 patients tunisiens souffrant d’insuffisance rénale chronique sont toujours en attente d’une greffe.
C’est ce qu’a affirmé, vendredi, Saïd Aïdi, ministre de la Santé, en marge du 6e Congrès national de néphrologie, qui se tient les 25 et 26 mars 2016 à l’hôtel El-Mouradi Palace, à Port El-Kantaoui, à Sousse.
Le ministre a encore précisé que le traitement de cette maladie coûte 5% du budget réservé au ministère de la Santé.
Saïd Aïdi a lancé un appel pour mener des campagnes de sensibilisation pour le don du rein.
Z. A.
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